Selon le MIC, 2 000 bénévoles s'engageront dans le test. Chaque bénévole possédant un téléphone mobile est capable d'enregistrer l'heure et sa position grâce à la fonction de GPS. Les données enregistrées sont gardées par les opérateurs de télécommunication.
Si un des bénévoles est infecté, il est alors possible d'utiliser les données GPS gardées en mémoire par les opérateurs pour identifier et notifier efficacement les personnes avec qui il aurait été en contact.
Aujourd'hui il existe déjà des services sur mobile, tels que "iconcierge"(iコンシェル) de NTT Docomo, qui enregistrent les données de l'utilisateur.
Nul doute qu'au-delà de l'intérêt public évident, ces types d'usages posent de façon plus générale une vraie question sur la conservation des données personnelles et leur usage ultérieur.
L'expérience qui sera conduite à l'automne aura donc aussi valeur de test pour les opérateurs afin de mesurer la sensibilité de leur clients à ce type de démarche.
Au Japon, le GPS embarqué dans les téléphones est à l'origine de quantité de nouveaux services : localiser ses enfants, éviter les averses… et même cultiver ses légumes !
[Via : Asahi.com et WirelessWatch]
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