Quand il y a des catastrophes et que tous les médias vous montrent une actualité des plus pessimistes, il ne faut pas être triste, ressasser, s’apeurer, mais au contraire toujours redresser la barre, réagir par une dynamique positive qui contrebalancerait ces mauvais effets, sinon on ajoute des négativités à des éléments déjà difficiles. Il est capital de comprendre que nous rajoutons des négativités à cause de nos états intérieurs.
La pomme d’arrosoir est immensément perfectionnée : ce sont des milliers de petits orifices qui ont des dimensions différentes et vont programmer des nuances variées dans le cerveau des autres.
Imaginez que notre cerveau soit une lampe placée dans une pomme d’arrosoir ; par chaque orifice filtre un rai de lumière, qui lui-même éclaire l’intérieur d’une autre pomme d’arrosoir (le cerveau d’un autre). Chaque orifice éclaire encore une pomme d’arrosoir et ainsi de suite ; c’est un processus qui agit par multiplication.
C’est l’imprégnation du film des vies antérieures : nous avons tous un film dans la tête où tout est retenu. Il n’y a pas un brin d’herbe qu’on n’ait oublié, ni un grain de sable, tout est imprégné définitivement en nous ; toutes les expériences de notre acquis sont magnétisées en nous, elles sont imprimées dans notre cerveau comme la mémoire d’un ordinateur.
C’est capital car, à cause de ce système de chaîne, on peut programmer continuellement du positif chez les autres ou inversement projeter du négatif, selon son état d’être.
Chaque personne ayant déjà vécu de nombreuses vies, a de nombreuses responsabilités par rapport aux êtres qu’elle a rencontrés dans d’autres vies. Nous avons tous cette télépathie mais elle n’est pas toujours éveillée et même souvent inhibée.
Nous pouvons tous continuellement travailler par télépathie : pour aider quelqu’un, il suffit d’évoquer la personne, de la visualiser dans notre tête, d’évoquer l’être supérieur à qui nous voulons le confier que ce soit le Christ, la Vierge, un saint ou un Être de Lumière qui nous est cher. On laisse la force arriver en soi et repartir vers cette personne, cela se fait avec naturel. Dieu effectue le travail tout seul, il n’est pas nécessaire d’avoir une grande quête intérieure, il faut simplement être dans un état de générosité et dire : « Aidez cette personne » et elle reçoit cette force qui la redynamise.
C’est pour cela que la prière est très importante, parce qu’elle met en contact avec des entités très évoluées, qui envoient immédiatement de la force.
L’importance de la télépathie entre les désincarnés et les incarnés, le besoin réciproque de chacun : nous demandons aux désincarnés de nous aimer, de nous guider, de nous consoler. Il faut savoir que dès que nous pensons à un être défunt qui nous est cher, il est attiré immédiatement vers nous et il faut savoir le recevoir, l’écouter dans l’intérieur de son cœur.
Par contre, peu de personne ont conscience du besoin qu’ont les désincarnés que nous pensions à eux, que nous aussi nous leur parlions. Ils ont besoin, tout comme nous, de continuer à être aimés, de garder les liens avec ceux qu’ils ont chéris et qu’ils essaient éternellement d’aider. C’est pour eux une grande joie, une grande source d’énergie pour continuer leur évolution.
D’où l’importance des albums de photos, des portraits de famille ou encore les objets ayant appartenu à des êtres chers et qui nous en évoquent le souvenir.
Les oublier, ne pas les solliciter peut leur donner une grande tristesse, un désintérêt et même une léthargie, les empêchant, eux aussi, d’évoluer.
Il faut savoir qu’un désincarné continue son évolution, en aidant bien sur les êtres à qui il est lié affectivement, mais aussi les personnes qui perpétuent leurs travaux réalisés sur Terre lors de leur dernière vie, par exemple Allan Kardec continue à former des médiums, Martin Luther King continue à combattre le racisme, Gandhi continue à lutté pour la paix….
Être en télépathie avec les désincarnés que l’on a aimés est une grande joie réciproque.
Bénédicte Civet-Lobstein
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