Après de multiples pointes lancées par le magazine « Voici » à Laurence Ferrari. La journaliste de TF1 a voulu parler directement à la rédaction du magazine people en leur envoyant une lettre.
Laurence Ferrari a déclaré dans cette lettre, je
cite : «Vous prétendez que les médias ne comprendraient pas et que les lecteurs seraient choqués par ce que vous qualifiez de "pantalonnade", et me demandez de rendre les indemnités
auxquelles Voici a été condamné.
Mais s'il y a en réalité une "pantalonnade", c'est la façon dont "Voici" met en scène de manière caricaturale et artificielle son indignation prétendue face à ce non-événement.
(...) Ce qui est démesuré, ce n'est ni la publication d'un "énième" communiqué judiciaire en couverture de votre magazine, ni le montant des dommages et intérêts visant à réparer le préjudice
causé par la violation délibérée et répétée de ma vie privée, mais les moyens mis en oeuvre par votre journal pour financer cette traque incessante au mépris de la loi et de mes droits.
Pour ma part, les dommages et intérêts qui m'ont été alloués ont pour l'essentiel été prononcés en raison de la publication de photographies volées et en tenant compte du harcèlement constant que
je dois subir par votre faute.
Au cours des dix-huit derniers mois, Voici a publié pas moins de seize articles mettant en scène un véritable feuilleton consacré à ma vie privée, généralement annoncés en couverture et illustrés
de photographies volées et racoleuses.
Permettez-moi d'espérer que Voici fasse un jour le choix éditorial de respecter la loi, au lieu de stigmatiser le comportement des victimes de ces violations, pour tenter de déculpabiliser son
lectorat (...) ».