Notre travail finit souvent par nous dévier de la course que nous avions choisie de courir. Pléonasme ? Oui, avoué, mais uniquement pour remarquer à quel point la vie réserve des surprises.
Quand le boulot devient un exutoire par exemple, à une vie de solitude, passée à attendre le prince charmant, alors ont se dit que le mythe de Cendrillon méritait vraiment d'être actualisé.
Le problème n'est pas de savoir si la bonne fée changera en Ferrari notre citrouille, quand on a déjà tout le luxe autour de soi. On se demande surtout ce qu'elle pourra faire pour le vide infini que l'on a en soi...
Découvrez notre chronique de Délit de fuite, par Dominique Dyens...