L’enquête se poursuit :
- Premier complément : Fiat et Opel pourraient fusionner plus facilement que je ne le disais, parce que Fiat et GM ont eu un bout d’histoire commune.
- Mais l’article trouve l’opération risquée : VW, champion de la stratégie que compte appliquer M.Marchionne, dit l’exercice difficile et doute de ses chances ; la complexité de la gestion Nissan-Renault expliquerait les difficultés de Renault, M.Ghosn s’étant dispersé.
- D’ailleurs, la motivation de Sergio Marchionne est étrange. Il semble penser que l’industrie automobile a perdu tout sens commun et que sa mission est de la réformer. Un croisé peut-il faire un bon dirigeant ?