Le jardin, était un peu en friche, il fallait pailler les fraisiers qui ont maintenant poussé suffisamment, et les pissenlits que j'ai arraché auraient pu nourrir la moitié du département !
Mais quel bonheur de voir ces fleurs qui pointent le bout de leurs pétales, de sentir le soleil commencer à chauffer, de pouvoir déjeuner dehors, et traîner plus tard le soir parce qu'il fait encore jour est pour moi la promesse de l'été qui arrive.
Une belle balade ce matin, avec mon amie Catherine, nous avons joué les touristes en descendant la rue du Jerzual, qui est une vieille rue médiévale qui va du coeur de la ville au port, la descente est abrupte...
Mais la vue à mi-chemin du raccourci qui mène à nos maisons (Catherine est aussi ma voisine), vaut vraiment les courbatures que nous allons avoir demain matin.