Les mécanismes du buzz
Une fois la vidéo visionnée, l'internaute a envie de la partager avec ses amis : il ne lui reste qu'à copier le code embed de la vidéo et le placer sur son site ou son blog.
Un deuxième ressort viral est prévu : donner les prénom, nom et adresse mail de ses amis. Ceux-ci recevront alors un mail avec le lien vers leur propre vidéo.
Des oublis Il est dommage qu'Orange se soit limité à miser sur la diffusion par mail viral et via les blogs. Certes, le mail permet d'une part de personnaliser le message et d'impliquer d'autres "égonautes" dans sa propagation et de récupérer des contacts marketing, mais cela prendra du temps à se propager et risuqe de passer inaperçu dans des boîtes de messagerie saturées ? Quant au code embed, il faut avoir un site ou un blog pour l'utiliser. Les blogueurs sont très actifs dans les dispositifs de buzz, s'il les aiment, mais il faut aussi prendre en compte l'essor actuel du microblogging. La moindre des choses aurait été de prévoir un bouton pour poster la vidéo sur son profil Facebook, ce qui aurait garanti, à coup sûr, une audience bien supérieure.
En outre, on peut s'étonner qu'Orange, premier opérateur de téléphonie mobile en France, n'ait pas saisi l'occasion de miser sur une diffusion virale de ces vidéos sur téléphone portable. Une application iPhone aurait été la bienvenue, surtout au moment où s'ouvre la concurrence avec les deux autres opérateurs sur la commercialisation du terminal mythique d'Apple et des forfaits qui y sont adaptés.
Des pistes à prendre en compte pour une prochaine campagne !
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