par Frédéric d'Agay.
Semaine hivernale à Moscou. Ce froid retarde le printemps et les Moscovites en ont marre.. Mais ils s’amusent tout de même et sortent beaucoup. La crise est là bien sûr, mais on en parle moins qu’à Paris ou plutôt différemment. Elle est surtout liée, pense-t-on, au prix du pétrole et donc pas de raison de s’affoler pour le moment. Les Russes ont un peu l’impression d’être en marge de l’économie mondiale. Et l’attitude des entrepreneurs est de chercher des solutions, pas de pleurer. Plus je vais à Moscou et plus Paris a l’air d’une ville de province...Lire la suite.