Geoff Ostling, 65 ans, a recouvert presque chaque centimètre carré de sa peau de tatouages, excepté sur son visage, son cou et une partie de ses avant-bras. Ces dessins corporels sont sur un même thème : “toutes les fleurs d’un jardin de Sydney”. Il vient de déclarer qu’il ferait don de sa peau à la National Gallery de Canberra après sa mort et de ses organes à la médecine. Selon Sascha Smith, un expert en taxidermie, garder les tatouages intacts devrait être un vrai challenge mais le procédé ne devrait pas beaucoup différer de l’écorchement d’un animal.