Tir à Vue, ou petite revue de détail entre amis (partie 1)

Oui, alors, je sais ce que vous pensez. Vous pensez, "oui, mais il vient nous faire un (excellent) article, et puis plus personne pendant des plombes, et puis y revient, et y repart,et".....Bref, non, mais entre nous, je vous le demande : Suis-je là pour faire du social? Mais, bon, le fait est que le bannister est très addictif, je peux le concevoir. Et pour cela donc, voilà une dégringolade d'avis sur quelques longs métrage visionnés au dépoté (moi non plus je ne sais pas ce que ça veut dire, Robert, ne commence pas)  :
J'ai vu "La ronde de nuit", Peter Greenaway (le réal) m'a souvent bluffé dans ses films.
Mais là, j'ai l'impression qu'y s'est foutu de ma gueule...Comment dire, en résumé, et pour dégrossir ma pensée, un mot s'accroche à moi: CHIANTISSIME.
C'est d'une lenteur monstrueuse, filmé style "Au théâtre ce soir" mais en plus pompeux, et alors l'effet tableaux (composition de l'image, éclairage....) c'est joli 10 mns, mais après....c'est tellement bavard (verbeux surtout, des conversations incompréhensibles parceque sans but).....Non, moi je dis pitié, ménagez-vous pour autre chose qui vous sera moins désagréable (comme vous sortir une dent à la petite cuillère : et je ne plaisante pas)!!!
Vision  difficile de "Macbeth" avec James Mac Avoy, le transfert des textes de Monsieur Shakespeare dans notre monde moderne, c'est pas l'idée la plus originale du monde, mais passons, car on touche pire : Macbeth dans le monde de la grande cuisine est tellement mauvais que c'en devient ridicule, et du coup, comme les dialogues du Maître sont souvent bien fournis : le film vire à la torture auditive. Voilà: mauvaise idée, donc. Par contre ce Mac Avoy, qu'est-ce qu'il est bon, ce petit merdeux, il a un jeu viscéral et intense que j'avais rarement vu (et je parle de l'ensemble de ses films).
Alors à moins de faire une étude sur James MacAvoy, regardez ailleurs.
Voilà pour cette première partie qui signe d'un "b" qui veut bana..bibendu...enfin bref, à suivre....................
Même en plusieurs parties, je vous aurais toujours à l'oeil.
Bannister part one.