Bon, voilà. Titre sobre. Police classique.Pas de fioriture.
Quel rapport avec le film, me direz-vous? Pfouuuu, mais ayez un peu de recul sur vous-même,crotte.
Bref, Robert, parce qu'on est pas là pour parler de moi, The passengers est un peu l'archétype du film qui pioche de bonnes idées chez les autres et qui se mélange gentiment en pensant faire original.
Le métrage aurait pu être sympathique, car sa partie de mise en place de l'intrigue est honnête, son dernier quart d'heure itou, c'est bien joué, mais voilà. Voilà voilà.
Ben c'est vide, quoi. Il y a beaucoup trop de séquences contemplatives, ce qui, en soit, n'est pas négatif, oh non. Par contre il faut le meubler ce ventre mou, et ni les dialogues ni l'avancée de l'histoire ne parviennent à nous éviter l'enlisement. On pouffe, on souffle, on regarde sa montre, et alors là, c'est jamais bon. Même, ça peut énerver.
Alors, une histoire qui pêche par manque d'originalité, de rythme, qui ne décolle que dans sa dernière partie, enfin, vous m'aurez compris.....
Je vous iodoloï de haut en bas, et taisez-vous.
Bannister, le 6ème passager. (le siège contre la vitre).