Davos, en berne et ambiance morose. Belem, en vogue et ambiance extrême. Regarder le thermomètre facilite l’analyse du phénomène: Davos 0° Celsius, Belem 30° Celsius. Bizarrement, l’amplitude dans la température coïncide avec celle-ci de la fracture sociale dans le monde.
La conclusion s’impose: pour avoir du succès, le prochain Davos devrait se dérouler au Brésil. En fin de compte, pourquoi pas? Les marques ne sont plus géographiquement liées. Le “Paris-Dakar” s’est bien exporté en Amérique Latine pour son édition 2009, n’est-ce pas?
Seul hic: n’organisez pas les deux sommets en même temps: il y a peut-être des volontaires pour participer aux deux. A l’heure actuelle, entre se faire passer pour un “social”, ou bien pour un “riche, il faut choisir.