Avec l’élévation du niveau de la mer, certaines plages vont disparaître touristique. En outre, « Sur le littoral, la remontée du niveau de la mer amplifiera l'érosion des côtes qui touche déjà 20% des communes touristiques françaises ».
Avec la fonte des glaces, la moitié des stations de ski sont vouées à la mort.
Avec l’augmentation de la pollution et les pénuries d’eau, les rivières et lacs et autres étangs ne seront plus attractifs.
Cette pénurie d’eau empêchera l’entretien des golfs (j’espère qu’on continuera à avoir assez d’eau pour cultiver l’orge dont on fait la bière).
La liste est infinie… « L'impact de l'évolution de la biodiversité et des paysages serait encore plus marqué dans les destinations outre-mer qui risquent de perdre leur barrières de corail, principales ressources touristiques de territoires comme la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie ou Mayotte ».
Allons bon ! Nous qui gagnons de l’oseille essentiellement avec le tourisme.
L’espèce d’épidémie de grippe nous rappelle qu’on peut s’attendre à « une recrudescence des risques sanitaires alors que le nombre de voyageurs long courrier ne cesse d'augmenter. » et donc des impacts sur les compagnies aériennes et les fournisseurs d’avion.
Allons bon ! Nous qui gagnons aussi de l’oseille avec Air France et Airbus.
« Il faut donc s'attendre avec le changement climatique à une recrudescence de l'asthme et des bronchiolites. En outre, les études médicales montrent que le risque d'intoxication alimentaire est corrélé aux températures ».
Allons bon ! Déjà qu’on a la sécu qui va mal.