Il y a peu de temps, après avoir fini un chantier difficile, j'ai fait un gros caprice (cela est dû à mon éducation : bon travail mérite récompense) dans le but :
- me faire plaisir (on a encore le droit)
- matérialiser ce en quoi je crois pour la restauration des bâtiments et le reste, d'ailleurs.
Mon vélo préféré, un super course vintage des années 1970 acheté 40 euros chez Emmaüs a été l'heureux bénéficiaire de ce "manifeste de restauration". Si vous êtes curieux de voir l'état d'origine, c'est >>> ICI
Voici donc cette "idée de la restauration" :
- le vélo est vraiment très très beau et mérite vraiment cette restauration. Le cadre ultraléger, souple et réactif, est en acier italien à tubes "lugged" façon Rivendell >>> ICI ou Vanilla >>> ICI
- les signes d'usure sont conservés quand je les trouve beaux comme les points de rouille qui donnent un éclat doré sur le chrome de la fourche. Ils me rappellent le clocher d'Argentières >>> ICI
- la peinture que je n'aimais pas est remplacée par un noir très "stealth" >>> ICI
- certains accessoires sont remplacés dans un souci d'efficacité et de performance (comme les poignées de freins Shimano, les pédales DKT, les boyaux Vittoria)
- la selle est remplacée en cuir très chic et très vintage de chez Brooks >>> ICI
On dirait un bijou dont la perfection est proche d'une belle horlogerie suisse...