MENSONGES ET LÂCHETÉ DES ÉLITES
Le texte de présentation et les documents associés sont mis à la disposition de nos lecteurs, à titre de démystification des principaux acteurs des « média-mensonges » :
intellectuels serviles, collaborateurs zélés de la parole manipulée, « chiens de garde » d'une intelligentsia qui a choisi son camp : celui où l'on peut avoir le ventre plein, à
condition de savoir lécher les bottes !
[Présentation de ma correspondance par l'administrateur du site Épicure (années 2002-2003)]
Le monde ment, et Le Monde, dont Jean-Marie Colombani, ancien directeur général, et Edwy
Plenel [ex-directeur de rédaction] ainsi que Bernard Cassen et Ignacio Ramonet du Monde diplomatique, colporte les mensonges et les « croyances au miracle »
du monde, sans avoir le courage intellectuel de débattre, comme en témoigne la fin de non-recevoir officielle
du 26 janvier 2004 qui n'a pas pour autant établi jusque-là la fausseté de mon argumentation dénonçant la Superstition dans ses divers modes d'expression : religion,
toutes religions confondues, monothéistes ou non, métaphysique (Matérialisme, depuis Aristote jusqu'au scientisme contemporain, positivistes inclus, et Idéalisme ou
pseudo-philosophie spiritualiste de Descartes et de Kant, entre autres « philosopheurs »), idéologie, toutes les idéologies sans exception, et moralisme (Morale et
condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale), tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des
droits de l'Homme de 1948.
Si je nomme « mensonges du monde » ceux qui sont colportés encore aujourd'hui grâce à
la « collaboration » active de nombreux et puissants complices, tous milieux confondus [Médias, politiciens, intelligentsia (soi-disant intellectuels ou pseudo-philosophes) et
associations moralisatrices à sens unique], dénoncés nommément ci-après, c'est parce qu'ils se perpétuent à travers la planète, au fil des siècles et des millénaires, sans jamais être
remis en question par les faiseurs d'opinion, qui en tirent profit pour satisfaire leurs intérêts égoïstes dans leurs affaires d'amour, quel qu'en soit l'objet, de possession de biens et
de personnes, d'où l'extrême importance de l'argent comme instrument d'échange, et de gloire ou honneur-vanité, à travers la recherche de titres, de distinctions et de médailles de
toutes sortes [civils, militaires, professionnels, artistiques, culturels, académiques, sportifs, etc.]
Pour remettre véritablement et définitivement en question les « mensonges du monde », tous sans exception, il suffit pourtant d'établir, à l'exemple du philosophe juif
allemand Constantin Brunner (1862-1937), héritier spirituel du Christ et de Spinoza, notamment, que tous se fondent uniquement sur l' « absolutisation du relatif ». En effet,
« absolutiser le relatif » est un procédé intellectuellement et philosophiquement malhonnête, puisqu'il consiste à travestir en Vérité absolue les vérités seulement
relatives du monde, c'est-à-dire à présenter et à faire passer fictivement pour absolu, pour réalité ou Vérité
absolue, le « contenu pensé » dans et sur (à propos de) notre monde. Brunner l'appelle « das Gedachte », le
« pensé », ce qui est pensé par notre entendement pratique, commun à tous les êtres humains.
Or ce tour de passe-passe mensonger du penser superstitieux, qui absolutise le relatif, aboutit à une impossibilité absolue par définition, philosophiquement parlant,
puisqu'il termine dans la prétendue coexistence absolue de deux absolus, c'est-à-dire dans un dualisme totalement antiphilosophique et
irrationnel. En effet, ce qui est absolu, absolument absolu, étant à la fois infini, éternel, immuable et parfait, comment deux absolus pourraient-ils
donc être infinis, tous les deux, sans se limiter, et tous deux absolument parfaits sans être identiques au point de n'en faire qu'UN, sauf à admettre une entité plus parfaite que l'autre, ou comment expliquer que l'un de ces deux absolus, loin d'être immuable, est
perpétuellement en mouvement ? Ceci semble suffisant pour établir que « deux » absolus coexistant, c'est une impossibilité absolue, comme il en va de DEUX vérités prétendument absolues. En conséquence, comment pourrait-on les prétendre absolument vraies sans recourir à un artifice ou à un mensonge
à leur sujet ?
C'est précisément le cas dans la religion et dans la métaphysique avec leurs deux
prétendus absolus, à savoir Dieu - ou un principe créateur - ET notre monde. Pour le penser superstitieux, tous les deux sont censés exister absolument, et l'un est même supposé
être la cause absolue qui aurait crée ou produit l'autre, notre monde des choses. Ainsi, d'après les religions monothéistes et l'idéalisme cartésien ou kantien, entre autre, notre monde
proviendrait d'un Dieu créateur, tandis que, d'après le matérialisme d'Aristote et du scientisme contemporain, il émanerait d'un mystérieux principe créateur (primus motor ou
big bang). Or, la coexistence de deux absolus étant une impossibilité absolue, hormis démonstration contraire, il faut donc admettre, sauf à récuser à Dieu lui-même l'existence absolue,
éternelle, que notre monde n'existe pas absolument, mais seulement « relativement », c'est-à-dire « en relation » à notre entendement spécifique humain. Sans
penser humain, il n'y aurait pas notre monde humain, notre monde n'a de réalité qu'aussi longtemps qu'il y a des êtres humains qui le pensent. C'est exactement le cas pour chacun :
notre monde commence à exister à notre naissance, et cesse d'être à notre mort - il n'y a pas de « chose en soi », c'est-à-dire indépendante d'un entendement qui la pense, et c'est
pourquoi notre monde n'a pas de réalité absolue, n'existe pas absolument !
Ceci entraîne que notre monde humain, en apparence tellement réel pour nous, n'a aucune réalité perceptible pour l'infinité des autres entendements infinis qui pensent différemment de nous, mais n'en pensent pas moins pour autant à leur
façon spécifique, puisque « omnia animata » : TOUT pense, mais pas à notre manière humaine ! C'est pourquoi ces infinis entendements sont incapables de
saisir notre monde humain, tel qu'il est représenté à notre penser particulier, mais TOUT monde existe « relativement » au
penser spécifique qui le pense. Ainsi le monde du chat, par exemple, n'existe-t-il que « relativement » au penser spécifique du chat ; « son » monde, celui saisi par le penser du chat, n'est pas « le »
monde tel qu'il est perçu par l'entendement humain. Ainsi Dieu n'a-t-il pas créé, dans une relation de transcendance, un monde UN, Unique, existant « absolument » et
représenté de manière identique à l'infinité des différents entendements infinis. Notre monde est « LE » monde uniquement pour
nous les humains, tandis que chacun des infinis autres entendements infinis saisit un monde spécifique à son penser
particulier, et qui n'existe donc que « relativement » à celui-ci !
Comme cette relation de transcendance entre un Dieu ou un principe créateur ET notre monde fait appel à deux absolus, donc à une impossibilité absolue, et sauf à admettre que notre monde a été créé ex-nihilo, proviendrait du
néant, serait sorti de « RIEN », il reste à s'en remettre à la seule relation véritablement philosophique ou
authentiquement mystique, à savoir celle d'immanence entre les infinis mondes spécifiques aux infinis entendements particuliers, dont le nôtre, ET l'UN. En dehors du UN, de l'Unique, en effet, il ne saurait y avoir de Vérité absolue, puisque le
« dualisme des absolus » est une impossibilité absolue - sauf à quiconque, évidemment, de démontrer le
contraire !
La relation d'immanence exclut donc la création ex-nihilo des religions et de l'idéalisme
métaphysique sans renvoyer pour autant au Néant mais à l'Esprit véritable, à l'UN absolu, quelles que soient ses multiples désignations : l'Idée des idées de Platon, le Père chez le Christ, Dieu ou la
substance chez Spinoza, le Pensant chez Brunner, sans oublier celles des philosophies et des mystiques orientales ou autres. Dans cette relation d'immanence entre l'UN et l'infinité des mondes infinis, TOUT monde s'avère être la manière spécifique dont Dieu ou la
substance se manifeste, se révèle, à chacun des infinis entendements infinis.
Ceci donne corps à la définition de Spinoza : « Par attribut, j'entends ce que l'entendement perçoit de la substance comme constituant son essence » [Éthique I,
définition IV], car Spinoza, véritable philosophe par excellence, ne peut pas être soupçonné d'avoir pensé seulement à l'entendement humain, c'est-à-dire avoir supposé que « seul »
l'Homme pense, puisque ce serait précisément en contradiction avec son « omnia animata ».
D'autre part, la relation établie concrètement ci-dessus entre TOUT monde et TOUT entendement spécifique conforte la proposition VII de Éthique II :
« L'ordre et la connexion des idées sont identiques à l'ordre et à la connexion des choses. »
Elle a le grand mérite de régler définitivement le problème, encore non résolu jusqu'ici, de la
soi-disant union d'une âme et d'un corps séparés, un autre dualisme, et ceci fait dire légitimement à Brunner : « Si vous ne voulez pas avoir à les réunir, ne commencez pas par les
séparer ! »
Si le Dieu superstitieux religieux ou idéaliste ne saurait exprimer LA Vérité absolue, il n'en va pas différemment
d'un quelconque principe créateur d'hier (primus motor), d'aujourd'hui (big bang) et de demain ( ? !) - fut-ce dans des millénaires ! Cette relation de transcendance suffit à
établir le penser superstitieux du scientisme matérialiste contemporain dans sa prétention à connaître et à comprendre « absolument » notre monde. LA science, même devenue
scientisme dans sa prétention à dire l'Absolu, la réalité ou Vérité absolue, n'établira que des théories et des hypothèses relatives jusqu'à la fin des temps, même si elles sont fictivement érigées en pseudo-vérité absolue d'une
époque. Sauf à quiconque, évidemment, de
démontrer la fausseté du propos suivant d'un homme de science intellectuellement honnête d'aujourd'hui, Bernard d'Espagnat en l'occurrence, écrivant :
« Le réel par excellence, ce ne sont pas les contradictoires entités sur lesquelles
travaillent les hommes de science contemporains, mais ce que Spinoza nomme Dieu ou la substance. » (Á la recherche du réel)
Jusqu'ici néanmoins, malgré les infinies contradictions, lacunes et incertitudes prévisionnelles, ou autres, de
la science, le scientisme contemporain persiste à faire croire superstitieusement en la réalité ou vérité absolue d'un réchauffement
climatique prétendument inéluctable dans un monde, où, non seulement TOUT est relatif, mais où TOUT est en perpétuel mouvement, de sorte qu'il est « absolument impossible de stabiliser quoique ce soit », et donc
d'établir sur la planète un « climat sur mesure » pour l'éternité - sauf précisément à arrêter le mouvement universel des choses de notre monde, voire à quiconque, évidemment, de démontrer la fausseté de
ce qui précède !
De même que la religion, l'idéalisme et le scientisme, l'idéologie, toutes les idéologies sans exception (illusion altermondialiste comprise), relève aussi du penser superstitieux dans son absurde prétention
de transposer l'Idéal dans le quotidien, qu'il s'agisse des valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, ou de banals problèmes concrets relatifs à l'Europe, à l'emploi, au pouvoir d'achat, à l'enseignement, aux prisons, à l'hôpital, à la circulation
routière, etc., etc.
Cette « croyance au miracle », dont on peut exonérer les révolutionnaires de 1789 à titre de
précurseurs, mais pas les suiveurs de 1917, conduit forcément à de fallacieuses promesses de toutes sortes, dont le tort est, non seulement d'oublier la réalité de l'égoïsme effréné des
humains dans leurs affaires d'amour, d'argent et d'ego, mais surtout l'impossibilité absolue de changer notre nature égoïste, à laquelle personne n'échappe - sauf les bien-pensants et les hypocrites, évidemment ! De surcroît, tous ces vendeurs de rêve et autres marchands d'illusion
témoignent par leurs incessantes querelles qu'ils sont incapables de tenir leurs promesses, faute déjà de pouvoir se mettre d'accord entre eux -jusqu'à preuve du contraire, tout au moins !
D'ici-là, ils s'imaginent pouvoir instaurer le paradis sur la Terre au moyen de processions, d'implorations, d'incantations et autres pratiques magiques (ronde dite des « obstinés » en
2009) - pourquoi pas des prières aussi ? !
Jusqu'ici force est de constater, en tout cas, que les promesses de toutes les idéologies se bornent à renvoyer
leur éventuelle concrétisation à DEMAIN, toujours DEMAIN, seulement DEMAIN, à la saint Glinglin, ce qui laisse leurs fidèles croyants au miracle « naïfs, cocus et
frustrés » jusqu'à leur dernier souffle - sauf à quiconque, évidemment, d'établir le contraire à ce jour, mais je prends date
aujourd'hui, le 5 mai 2009, pour l'avenir le plus reculé ! ! !
Et ce sont ces mêmes menteurs qui se croient légitimés à fixer
aujourd'hui les règles d'un moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale : LAQUELLE? !] relevant également du penser superstitieux,
puisqu'il se fonde seulement sur l' « absolutisation du relatif », ce critère universel et intemporel de la Superstition dans ses divers modes d'expression. En
conséquence, tous ces « vertueux » censeurs autoproclamés font culpabiliser les Autres uniquement sur des fictions : celle d'un Bien et d'un Mal prétendument
absolus, celle de la division artificielle des humains en deux catégories (les bons, les « vertueux », les antiracistes aujourd'hui, et les mauvais, les
« salauds », les racistes) - une fable pourtant dénoncée sans ambiguïté dans une parabole devenue célèbre, voici bientôt deux mille ans, par l'un des grands diseurs universels
de LA Vérité absolue -, et celle d'un illusoire prétendu « libre arbitre »,
censé permettre à chacun de choisir librement entre le Bien et le Mal - lesquels, puisque ces valeurs sont seulement relatives ? !
En effet, il n'y a ni Bien ni Mal absolus, c'est une imposture, c'est une escroquerie intellectuelle
planétaire. Il n'y a pas non plus les bons et les mauvais par nature, il n'y a que des individus égoïstes, tous sans aucune exception. Il n'y a pas davantage de
« libre arbitre », pas de pseudo-volonté soi-disant libre fondant la méthode Coué, en s'imaginant être miraculeusement détaché de la causalité infinie au
point d'en devenir le premier maillon, c'est-à-dire la « cause première » à l'exemple de Dieu ou du big bang. En réalité, loin de fonctionner selon notre bon plaisir, notre
libre vouloir, notre monde est régi par la « nécessité », au sens spinoziste du terme.
Elle se manifeste, tant dans l'existence de notre monde que dans tout ce qui s'y produit, mais je ne reviens
pas ici sur son existence « nécessaire », puisque même le « Dieu » ou substance de Spinoza n'était pas « libre » de créer, ou non, notre monde - et
les humains d'aujourd'hui prétendraient disposer d'un « libre arbitre », qui n'était même pas l'apanage du Dieu-Substance !
La nécessité se traduit par l'enchaînement infini de l'infinité des causes et des effets, résultant uniquement du mouvement perpétuel des choses de notre
monde, qui est la seule cause de leurs incessantes transformations. infini décision, se traduit par l'enchaînement libre ou à une quelconque hasard ne
laissant nulle place au déterminisme infini spinoziste, ou nécessitéPour tout ce qui se produit dans notre monde (phénomènes naturels, évènements historiques, actons collectives
et actes ou décisions individuels), la
En conséquence, sauf à quiconque, évidemment, de démontrer le
contraire, le moralisme, la superstition moraliste, n'a pas vocation à régir la marche morale du monde pour l'éternité en se fondant sur des fictions, auxquelles même le catéchisme
soi-disant universel contemporain, ou Déclaration universelle des droits de l'Homme de 1948, n'échappe pas. Comme tout autre catéchisme en effet, il n'exprime RIEN d'absolument absolu, et ceci explique sûrement pourquoi il se distingue surtout par son inobservation réellement universelle, ainsi
qu'en témoigne le devenir de la planète depuis six décennies, depuis précisément sa date de promulgation.
Aussi, tous les moralisateurs et autres censeurs autoproclamés, qui font l'opinion, devraient-ils se
dispenser de donner des leçons de morale aux Autres, non seulement en raison des mensonges fondés sur un prétendu Bien ou Mal absolu, mais aussi parce qu'il n'y a pas
réellement deux catégories d'humains par nature, les bons et les mauvais, et surtout parce que personne ne choisit « librement » quoi que ce soit, y
compris en matière de bien et de mal, puisque chacun est soumis à la nécessité inexorable de sa nature humaine égoïste, qui le fait agir, tantôt bien, tantôt mal,
« relativement parlant », au gré des circonstances et de l'intensité de ses aspirations et intérêts égoïstes. Ainsi, face à l'Idéal, chacun est forcément coupable, coupable de « crime de lèse-Idéal », et il n'y a donc pas d'individus ni de groupes d'individus, TOUS critères d'appartenance confondus, réellement « IRRÉPROCHABLES » ; pas de quoi, par conséquent, faire culpabiliser les Autres, a
fortiori au nom d'un passé révolu auquel ils n'ont en rien participé - et là-dessus, précisément, notre monde ment comme jamais dans ses infinies contradictions, puisque les
« vertueux » reprochent aux Autres ce qu'eux-mêmes ont fait fier, et refont, ou referont, à la première occasion où leurs intérêts de toutes sortes
l'exigeront ! ! !
C'est pourquoi, en raison de leur obstination dans le silence et le refus de débattre, je dénonce la
« collaboration active » à cette œuvre funeste de la Superstition dans l'une ou l'autre de ses formes, voire dans toutes, les soi-disant élites de l'époque, et d'abord les prétendus
intellectuels ou les pseudo-philosophes médiatisés : Bernard-Henri Lévy, Abdelwahab Meddeb, Alain Finkielkraut, Albert Jacquard, André Comte-Sponville, André Glucksmann, Annette Wieviorka du
CNRS, Armand Abécassis, Axel Kahn, Boris Cyrulnik, Bruno Étienne, directeur de l'Observatoire du religieux, Claude Ribbe, Clément Rosset, Daniel Cohen, Daniel Lindenberg, Denis Collin, professeur
de philosophie, Edgar Morin, Elisabeth Badinter, Esther Benbassa, Gérard Noiriel, historien, Henri Atlan, Jean-Didier Vincent, Jean-Jacques Rosat, professeur-assistant de philosophie au Collège
de France, Luc Ferry, Malek Chebel, Marc Lévy, écrivain, Max Gallo, Pierre Nora, académicien, Maurice T. Maschino, Michel Onfray, Nicolas Tenzer, Olivier Duhamel, Olivier Le Cour Grandmaison,
Pierre-François Moreau, professeur de philosophie à l'Ecole Normale de Lyon, Pierre Rosanvallon, professeur au Collège de France, Roger-Pol Droit, chroniqueur du quotidien Le Monde,
Marcel Gauchet et Régis Debray.
A SUIVRE...
[Les défauts constatés, inhérents à la longueur du texte, seront corrigés le
plus rapidement possible]