Le discours américain a, avec Barack Obama totalement changé, ce qui laisse espérer l'accord mondial de protection de climat qui devrait sortir de la conférence de Copenhague en décembre prochain et que de nombreuses conférences, organisées un peu partout préparent activement pour vaincre les nombreuses réticences, qui sont autant d'obstacles à la réalisation de l'accord attendu.
Dans ce but, le président américain avait invité il y a quelques jours à Washington 16 pays, à la fois les plus grosses économies et les plus polluants avec 75% des émissions de gaz à effet de serre et dont la participation à l'effort commun est dispensables ^pour atteindre les objectifs fixés par les experts de l'ONU.
Pour le moment, les engagements que se proposent de prendre les Ettas Unis semblent encore très insuffisants aux yeux des Européens, qui se situent très en dessous de ceux de l'Union européenne.