Finalement, "l'épée de Damoclès" qu'il redoutait tant lui est tombée dessus. Alors que Jacques Viguier faisait part, ce week-end, du "soulagement extraordinaire" qu'il ressentait depuis la fin de son procès, le parquet général de Toulouse a décidé de faire appel de son acquittement. Il y aura donc un deuxième procès, au cours duquel ce sont cette fois 12 nouveaux jurés qui devront répondre aux trois questions fatidiques: Jacques Viguier a-t-il tué sa femme, Suzanne? Lui a-t-il volontairement fait subir des violences? Ces violences ont-elles entraîné la mort de Suzanne, sans qu'il ait eu l'intention de la tuer? A ces trois questions, jeudi dernier, les neuf jurés du procès en première instance ont répondu "non". Malgré la certitude absolue de l'avocat général Marc Gaubert, qui s'était échiné pendant deux semaines à démontrer à la cour d'assises de Haute-Garonne que Jacques Viguier avait tué sa femme, il y a neuf ans.
Finalement, "l'épée de Damoclès" qu'il redoutait tant lui est tombée dessus. Alors que Jacques Viguier faisait part, ce week-end, du "soulagement extraordinaire" qu'il ressentait depuis la fin de son procès, le parquet général de Toulouse a décidé de faire appel de son acquittement. Il y aura donc un deuxième procès, au cours duquel ce sont cette fois 12 nouveaux jurés qui devront répondre aux trois questions fatidiques: Jacques Viguier a-t-il tué sa femme, Suzanne? Lui a-t-il volontairement fait subir des violences? Ces violences ont-elles entraîné la mort de Suzanne, sans qu'il ait eu l'intention de la tuer? A ces trois questions, jeudi dernier, les neuf jurés du procès en première instance ont répondu "non". Malgré la certitude absolue de l'avocat général Marc Gaubert, qui s'était échiné pendant deux semaines à démontrer à la cour d'assises de Haute-Garonne que Jacques Viguier avait tué sa femme, il y a neuf ans.