Le gouvernement va-t-il être tenté de recourir à l’une des « armes lourdes » qu’autorise la Constitution en utilisant l’article 44-3 (aussi appelé vote « bloqué » ou « unique ») pour court-circuiter les discussions autour de l’encombrant projet de loi Création et Internet ?
La question, restée sans réponse, a été lancée par la députée Martine Billard (GDR) mercredi dernier, 29 avril, lors de la reprise des débats sur le projet à l’Assemblée Nationale. Ce matin, elle nous explique que «