Ainsi, nous n'aurons pas d'été, juillet et aout noyés d'eau, on espérait septembre et puis rien, les jours qui raccourcissent, les sandales qu'on n'a jamais portées, les crèmes solaires à peines entamées, on se prépare à un hiver sans le souvenir de la chaleur de l'été... Dans le Paris morose du mois d'aout, je faisais mollement le tour du jardin du Luxembourg à petites foulées quand j'ai été ravie aux deux sens du terme, propre et figuré, j'ai stoppé ma marche mécanique et été happée par une immense expo dans l'Orangerie organisée par le Sénat (puisque le jardin appartient au Sénat). Milshtein. Des affiches dans tout Paris annonçaient les "Fées et petites merveilles", elles étaient à portée du regard, je me suis installée sous les toiles... J'aurais dû parler bien avant dans le temps de cette exposition en faisant comme quelquefois une exception au tout cinéma de ce blog... Car depuis l'expo a déménagé, après un mois au jardin...
Ainsi, nous n'aurons pas d'été, juillet et aout noyés d'eau, on espérait septembre et puis rien, les jours qui raccourcissent, les sandales qu'on n'a jamais portées, les crèmes solaires à peines entamées, on se prépare à un hiver sans le souvenir de la chaleur de l'été... Dans le Paris morose du mois d'aout, je faisais mollement le tour du jardin du Luxembourg à petites foulées quand j'ai été ravie aux deux sens du terme, propre et figuré, j'ai stoppé ma marche mécanique et été happée par une immense expo dans l'Orangerie organisée par le Sénat (puisque le jardin appartient au Sénat). Milshtein. Des affiches dans tout Paris annonçaient les "Fées et petites merveilles", elles étaient à portée du regard, je me suis installée sous les toiles... J'aurais dû parler bien avant dans le temps de cette exposition en faisant comme quelquefois une exception au tout cinéma de ce blog... Car depuis l'expo a déménagé, après un mois au jardin...