Wikirigoler, Pierrot et les sept nains

Je sais que tu te poses la question, cher lecteur, du sujet de ce billet. Tu te demandes anxieusement qui vais-je clouer au pilori, qui vais-je condamner à faire pénitence jésuitico-janséniste, qui vais-je envoyer, pour expier ses péchés, lire le blog de l'observatrice ?
En fait, je ne vais parler de rien ni personne !

Mais comme je tiens à toi, ami lecteur, je tenais à te mettre en garde.
En effet, j'ai attrapé la grippe (en tout cas, je crois, bien que les symptômes soient aussi ceux de la flémingite aiguë). Comme ce que je lis à droite et à gauche ne m'apporte que très peu d'information pertinente (en même temps, il ne faut pas rêver : les nouvelles sur le sujet ne sont pas fiables et sans cesse réactualisées, et donc constituent un exemple parfait de sources primaires), je n'ai pas encore trouvé le mode de transmission exact de la dernière pandémie qui nous arrive sur le coin de la figure.
Si ça se trouve, elle se transmet également par internet, alors surtout, surtout, éteinds vite ton ordinateur, au cas où la contagion utiliserait ce vecteur.

Une fois que je saurai si je ne suis pas condamné (ou si je survis), je ferai un billet pour te prévenir, cher lecteur, que tu peux de nouveau me lire sans danger. Ou alors je compte sur ton courage.

Qui osera dire ensuite que je ne me soucie pas de mon lectorat ?

P.S : normalement, tu n'es plus là pour lire, mais comme je te sais rebelle, il est possible que tu sois en face de ton écran. Alors je vais t'expliquer le titre de ce billet. J'ai commencé par éternuer en écrivant ce billet (atchoum ai-je donc fait qui m'a immédiatement fait penser à Atchoum. Et donc au Sept nains). Je te préviens tout de suite, tu as évité des trucs bien pire, alors ne te plains pas trop. N'oublie pas que mes facultés intellectuelles sont diminuées, exceptionnellement, et que j'en arrive même à conseiller des sites comme celui-ci via twitter. (car la suggestion de *** a malheureusement porté ses fruits). Difficile donc pour moi de faire l'exégèse de l'oeuvre de Spinoza, du coup.