Beaucoup d'émotions se dégagent de la voix de ces jeunes enfants aux regards éteints. Ils sont dans la rue et, malgré un arrière fond de voix désagréables, dont on devine à qui elles appartiennent, l'Ave Maria devient dans ce contexte une prière profondement triste, bien plus qu'un simple chant religieux incontournable.
Quel est ce "système" qui amène à une telle situation aberrante ?
a.k