Les deux premières années du mandat présidentiel de Nicolas Sarkozy comportent pour nous une leçon : il est toujours possible d’agir et d’obtenir des résultats sur les questions les plus sensibles, pourvu que l’on ait barre sur ceux qui exercent le pouvoir, et à condition de se battre vraiment.La portée efficace d’un vote en conscienceOn se souvient du débat qui s’était noué lors de la campagne présidentielle sur ce que nous avions alors appelé le «vote en conscience». Refusant de nous enfermer dans des postures d’abstention que certains prônaient en raison de l’imperfection du choix qui s’offrait à nous, nous avions développé cette idée que, «quelle que soit la gravité de la situation, la responsabilité du chrétien demeure toujours celle de lutter contre le mal par le bien en progressant avec prudence». Lire la suite sur Liberté Politique