Petit retour sur ma lecture du prologue de La Faim de la Terre, Les Cathédrales de la mort, publié dans le #30 de la revue Alibis.
Pour ceux qui n’auraient pas suivi : Jean-Jacques Pelletier écrit une série en 4 volumes, Les Gestionnaires de l’Apocalypse (La chair disparue - L’argent du monde 1 & 2 - Le bien des autres 1 & 2). La conclusion de cette quadrilogie, La Faim de la terre, paraîtra à l’automne. Comme j’ai lu Le bien des autres en 2004 (oui, oui, il y a 5 ans!), je grafigne les murs en attendant de connaître la suite. Pour faire patienter la bête (et vendre des revues!), on a publié le prologue de La Faim de la terre dans la revue Alibis que j’ai acheté au dernier Salon du livre.
Eh bien après avoir lu plus de cinquante pages de ce qui nous attend dans le prochain tome, j’ai presque hâte aux feuilles jaunes, à la rentrée scolaire et aux décoration d’Halloween dans les Jean Coutu. C’est exactement dans la même lignée que ce à quoi l’auteur nous a habitué dans le passé. Le même type d’histoires entremêlées dans lesquelles on suit, presque d’heure en heure, autant les bons que les méchants. Pour les habitués, on retrouve les Gonzague Théberge, Skinner, F, Fogg, Chamane, Blunt, Hurt et les autres. Ma seule frustration d’ailleurs, ce n’est pas évident de se souvenir après 5 ans de qui est qui et des organisations derrière chacun. Euh, c’est un gentil? Un pas fin? Vacuum c’est quoi déjà? Et Toy Factory? L’Institut? Ça donne presque le goût de se retaper Le bien des autres juste pour me remettre dans le bain, mais à près de 1500 pages pour les 2 tomes, je pense que je ferai plutôt travailler ma mémoire.