A l’inverse de leurs collègues, les jurées du Femina ont été relativement économes : quatorze romans français pour onze étrangers. Peu d’originalité par contre du coté de la sélection française, qui se contente de résumer celles des trois autres prix. A l’exception toutefois de David Foenkinos qui fait ici une apparition inespérée dans la sphère des auteurs “primables”.
Côté étranger, on retrouve plus d’audace, notamment avec les ouvrages de Paasilinna et Barrico. Sans compter l’indéboulonnable Marisha Pessl, qui devrait de toute évidence rafler un prix.
Comme le veut la tradition, le prix Femina sera remis le 12 novembre, en même temps que le prix Médicis.