Par Richard Zrehen.
Gyp, qui affuble ses personnages de noms qui sont aussi des définitions d’essence, procédé au vieux passé biblique-grec et à la postérité populaire nombreuse (chez San Antonio, par exemple, ou John Le Carré), met donc en forme dialoguée, plaisante mais un peu insistante, aux dires de ses proches confrères[1], ce que les « siens » à la très aiguë conscience de groupe[2] disent, plus ou moins ouvertement, de ces intrus maximaux que sont les Juifs allemands riches, tenant le haut d’un pavé parisien auquel beaucoup ne peuvent plus prétendre...Lire la suite