Ripley réagit (8h01) : Mon Rasti si tu savais... moi-même, récemment, me voilà emporté par un coup de coeur adolescent pour une auteure, dans l'un de ces pinces-fesses où il ne se passe rien. Mais, malgré le sourire et la subtilité de votre serviteur, l'approche tourne vinaigre... Elle m'envoie tout bonnement bouler, sans ménagement, l'inconsciente ! Que faire ? Lire son prochain livre ? Le descendre dans mes colonnes ? Le brûler ? Oublier l'humiliation ? J'en ferai sans doute une prochaine note...
Dorian se reveille (11H08). Moi j'ai tranché. J'ai longtemps fait comme vous. Silence gentil. .Maintenant, quand ça me tombe des mains, je le dis. Fermement.
Mais c'est tout récent. Peut etre depuis que j'écris ce blog. Ca me donne du courage ?
Rip et Rasti, je vous embrasse. Je pars à Deauville chez une baronne grivoise. Elle cherche un éditeur, elle aussi.