Des Corses luminescents, l’île de beauté auto-éclairée la nuit.
Ça aurait pu être la conséquence du rapatriement en France du centre d’essais atomiques du Sahara algérien. Mais comme les tirs étaient délicats en période touristique, on a trouvé un autre site plus loin.
C’est une information de l’enquête dans le Nouvel Obs du 23 avril 2009 :
"Essais nucléaires - La dernière guerre des sacrifiés"
Depuis l’expérience in vivo, menée sur elle-même par Marie Curie, je croyais que tout expert connaissait la nocivité des matières radioactives.
Et bien non, « n'ayez crainte, vous ne courrez aucun danger » qu’il disait le haut commissaire du CEA : c’est pas la vérité révélée, mais la vérité officielle ; pour le reste, secret défense.
Pourtant, malgré le secret défense, il apparaît que les risques des retombées radioactives des tirs, qu’ils soient d’essai ou post-dissuasifs, sont très variables.
Les retombées radioactives potentielles de la bombe iranienne sont hyper dangereuses : il est évident que la Palestine serait totalement dévastée et inhabitable pendant des décennies voire des siècles par une quelconque créature de Dieu si par un curieux hasard elle explosait sur ce territoire.
Par contre entend-t-on parler des actions de l’ONU pour que le Pakistan détruise ses bombes atomiques ? Sans doute que les retombées radioactives de la bombe pakistanaise ne sont pas dangereuses. D’ailleurs, l’Inde est tellement grande qu’une petite bombe dans un coin ne lui ferait pas bien mal.