En 1953 la découvert de l'ADN n'a pas vraiment permis de renforcer la croyance que l'Homme possèdait un potentiel illimité, mais plutôt qu'il dépendait de ses propres gênes. Ce n'est pas l'ADN qui gouverne notre capital biologique mais bien l'environnement.
Un gêne n'est pas capable de s'activer tout seul, il a impérativement besoin d'un signal de son environnement. Cela veut dire aussi que les gênes (ADN) ne sont pas responsable de nos comportements. Malheureusement les scientifiques ont ignoré, ce point parce-que cette thèse ne concordait pas avec la théorie de Charles Darwin. Le darwinisme présentant l'évolution comme le résultat d'un combat pour la survit en opposition au lamarckisme désignant l'environnement comme étant la cause de l'évolution sur terre.
Le fait d'avoir donné autant d'importance aux gênes dans notre évolution à eu de un impact à différents niveaux. D'abord les fonds destinés à la science ont été mal investis. Et puis cela à donné une très mauvaise façon de concevoir la vie. Cette définition à mener des millions de gens à penser que leurs comportements actuels relèvent de l'hérédité. Par exemple une personne qui arrive toujours en retard dira simplement qu'elle ne peut rien y faire puisque c'est dans ses gênes. Une personne qui est toujours dépressive dira aussi qu'elle ne peut rien y faire, elle est naît comme cela.
Pourtant moins de 2% de la populations mondiale touchée par des maladies telles que le diabète, maladies cardiaques, ou cancer... a été causé par une seul gêne. Le reste du temps ces maladies sont imputable à l'interaction de nombreux facteurs génétiques et environnementaux. Si ces chiffres sont juste pour la maladie, ils le sont aussi pour nos mauvaises habitudes également.
Nous avons bien tendance à confondre la cause et la corrélation. Un gêne est en corrélation avec un comportement mais il n'en est pas la cause. Nous pourrions comparer cela à une clé de voiture. Une clé peut-elle provoquer le déclenchement d'un moteur ? Non, elle est en corrélation avec le démarrage ; c'est vous qui décidez ou non de tourner la clé. Si la clé pouvait être la cause du démarrage, il y a longtemps que votre voiture serait partie sans vous !...
"Lorsque le produit d'un gêne est nécessaire, il est activé par un signal de l'environnement et non par une propriété du gêne" [Frederick Nijhout - 1990].
Pour que notre organisme fonctionne bien il lui faut pas moins de cent-mille protéines. La protéine fait partie des quatre éléments vitaux d'une cellule à savoir le sucre, les graisses et l'ADN . On les appelle les très grandes molécules. La protéine en est la plus importante.
En regardant une protéine au microscope on s'apercevrait qu'elle ressemble à un serpent. Celui-ci serait composé de vingt perles liées entre-elles par une connexion. Ces perles représentent les acides aminés, chacune est chargée soit positivement soit négativement. Les charges identique se repoussent et les autres s'attirent, elles permettent à la protéine de prendre diverses formes. Chaque position obtenu aura un rôle spécifique dans le mécanisme organique de la cellule. (respiration, irrigation du système vasculaire, reproduction, etc...).
C'est donc le changement de la charge électromagnétique de la protéine qui provoquera le mouvement et générera le comportement de la cellule et non la codification de l'ADN.
Schéma de transmission de l'information selon la pensée newtonienne (ancien dogme) :
ADN ----> ARN (mémoire tampon de l'ADN) ---- > Protéine
Schéma de transmission de l'information selon la nouvelle science :
Environnement ----> Protéine régulatrice ---> ADN ----> ARN ---> Protéine
L'ancien schéma à également permis aux scientifique de penser que le gènôme humain était composé de cent vingt mille gênes alors qu'il n'en est composé que de vingt cinq mille pour cent cinquante milliard de cellules.
Au niveau de la cellule il existe deux sortes de protéines. Les protéines réceptrices qui se trouvent planté dans la membrane comme une antenne de télévision ou un diapason et les protéines effectrices qui se trouvent dans la cellule à recevoir les informations de l'environnement grâce à la protéine réceptrice.
Elles fonctionnent toutes les deux de paires en mode stimuli-réaction. La protéine réceptrice capte l'information envoyé par un signal de son environnement puis le transmet à la protéine effectrice. Cette dernière va prendre la forme la mieux adaptée en fonction du signal. Ce signal peut être d'ordre lumineux, sonore, électromagnétique (micro-onde, téléphone portable - [Tsong - 1989] .Cela peut être aussi un signal de la pensée ou celui d'une autre molécule physique (un médicament par exemple)
Le rôle de ces protéines c'est de stimuler ou d'énergiser l'ensemble de nos cellules.
Selon le signal de l'environnement, la réponse de la protéine peut être instantanée ou durer plus longtemps. Pour un signal énergétique (son, lumière, pensée) la vitesse est estimée à trois-cent mille kilomètre par seconde. Pour un signal physique (molécule chimique) la vitesse fait une chute vertigineuse pour atteindre le un kilomètre par seconde.
Malgré cela la médecine allopathique à bénéficier de tous les fonds d'investissements pour ses recherches mais pas les médecine énergétique. Pourquoi ? Parce-qu'il est plus facile de vendre des médicament que de l'énergie pour se soigner, tout simplement. Le tout étant chapeauter par les géants pharmaceutiques.
Jusqu'à la révélation d'Albert Einstein, le monde scientifique était fortement attaché à la physique newtonienne. Cette croyance disait que tout était matière et que le plus petit élément de la matière était l'atome. Mais depuis que l'on a découvert que l'atome pouvait être divisé en particules subatomiques et qu'en plus ces particules dégageaient de l'énergie comme des rayons X et de la radioactivité. En regardant de très près un atome on s'aperçoit que ce n'est qu'un tourbillon d'énergie donc vide de matière. Ce qui confirme la théorie que E=Mc² (Energie = matière à la puissance de la vitesse de la lumière). En réalité l'énergie et la matière ne font qu'un. Aujourd'hui la Science nous amène à penser que la matière possède un esprit ; alors qu'auparavant elle était complètement détaché de tout ce qui à trait au spirituel. L'Église, à l'époque de Copernic avait un tout autre pouvoir ...
[source : Dr Bruce Lipton "Biologie des croyances"]