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Vers des jours meilleurs (ne jamais se fier à un lapin sur une autoroute)

Par Absolut'lit @absolute_lit
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"Je ne sais plus comment nous éitons arrivés là.
Je me souviens seulement des lumières. Elles passaient au travers des corps. Du mien. Des autres.
Rien n'arrêtait les lumières.
Elles étaient blanches, parfois, ou bleues, ouvertes. Les corps s'agitaient. Mon corps s'agitait. Se tordait, se cassait et se redressait.
Et les lumières passaient au travers.
Rien n'arrêtait la lumière
."

Zack. J'aime bien sa façon de penser. Pas forcément sa façon de faire, mais cette réflexion qu'il porte déjà sur les choses, els sentiments, les gens. Son amour pour Maïa, bien plus grand que certaines amours de grands. Plus incertain, si évident,  encore presque insouciant. Est-ce l'effet du pétard qu'il se fume avec une de ses amies, Marjorie, le matin, avant d'aller en cours ? l'atmosphère de ceux qu'il partage, dans certaines soirées, avec des "musicos" incapables d'émettre la moindre mélodie ? Est-ce simplement vrai ? Mais alors, pourquoi le pétard, pourquoi l'ecsta, pourquoi même ce sachet de cocaïne dans sa poche ?

Pas de faux discours, dans ce roman, pas de discours du tout. Juste quelques ados, pas de stéréotype. Non.
Juste quelques adolescents, qui tentent de fuir un peu la violence du monde, et se retrouvent face à une autre…


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