La justice passe partout. Au-delà de l’adage, Second Life devient, déjà aux Etats-Unis, le terrain de biens des procès tant les juridictions témoignent de l’exportation de cas du virtuel vers le réel. La plupart concernent cependant des litiges concernant la création d’objets et les droits dérivés. Ainsi, un avocat américain a-t-il démasqué une « copieur » de « Sex-Bed », ces lits où les avatars passent du bon temps. Après avoir démasqué l’homme caché derrière l’avatar, il l’a fait se présenter pour un jugement devant la cours de justice de Floride.
En France, de tels cas sont rares. Même si certains designers réfléchissent aujourd’hui aux actions à envisager pour défendre leurs droits légitimes pour le cas où les procédures mises en place par Linden Lab ne répondraient pas à leurs légitimes attentes.