Je pensais que nous avions trouvé un compromis raisonnable me permettant de t’oublier et de ne plus souffrir de manière démesurée à l’évocation de ton nom ; je tiens à saluer la délicatesse avec laquelle tu as déplacé ta boutique de la rue du roi de Sicile qui se trouvait pile poil sur le chemin de mon brunch dominical, afin de me permettre de continuer ma vie avec plus de sérénité et de retrouver un peu d’insouciance. Et j’arrivais à me composer un quotidien supportable avec quelques flashs résiduels....
Mais là mon cher Stéphane, je recommence à nouveau à me rappeler le paradis de couleurs, nacrés, métallisés, perforés ou vernis de tes cabas, paradis qui devient un véritable enfer quand la question du choix se pose.
Et tu viens de me donner le coup de grâce…
Je ne cesse à nouveau de penser intensément à toi, mon cher, très cher Stéphane…..
La Souris Teigneuse