Cafés Urba

Publié le 28 avril 2009 par Nicole Guichard

Lassé par tant de publicités invasives leblogdelaville cherche à s'expatrier sur d'autres plateformes ......

Suivre @LEBLOGDELAVILLE_info sur Twitter et Facebook

Adrift


La brume de San Francisco magnifiée par Simon Christen


Adrift est une lettre d'amour à la brume de la baie de San Francisco. Je l'ai tracqué plus de deux ans pour capturer l'interaction magique entre la douce brume, les crêtes de la côte de la Californie et l'emblématique pont du Golden Gate. C'est là que Adrift est né. Simon Christen


Adrift from Simon Christen on Vimeo.


Ode au patrimoine météorologique de San Francisco, Adrift (A la dérive) retrace le déferlement quotidien des nuages sur la baie de la métropole californienne... un poème visuel dédié à la ville et à son brouillard légendaire. Deux ans de travail au réalisateur et photographe suisse Simon Christen, deux ans de patience, à traquer les nuages, à filmer la brume qui glisse sur les collines pour dévaler vers la ville ou s'engouffrer sous le pont du Golden Gate.


Trekkings matinaux pour Simon Christen qui a observé et étudié les conditions météorologiques uniques (notamment le brouillard rasant) dans la baie de San Francisco, pour obtenir les conditions parfaites de prises de vue (le brouillard est souvent trop bas, trop haut ou déjà parti), et compiler ces quelques moments de pure grâce : à l’aube, où les terres, la ville, son Golden Gate Bridge semblent recouverts d'un voile céleste.


simonchristen.com

Brad Downey


Les installations urbaines de Brad Downey, sculpteur et peintre malmènent et ré-inventent les objets extérieurs


Spontaneous Sculptures, Brad Downey,2011, Published by Gestalten


Brad Downey a rapidement orienté son travail en direction de l'espace public après avoir constaté qu'une multitude de signes et de systèmes s'organisaient pour gérer chaque instant de nos vies. Ainsi, à travers ses installations, Brad Downey met en lumière l'impalpable règlement institutionnel généré par ces signalisations. Il vise à attirer l'attention du public sur sa propre situation urbaine et sociale.



Pour Brad Downey propriété public et privée, espace urbain et expériences personnelles tendent à se confondre à l'heure de l'accroissement de la privatisation.


Beginning and The End, 2010, Hamburg, Germany


SOURCE FONDATION OXYLANE


A VOIR AUSSI Brad Downey | Hacking the City

LIEU D’ÊTRE au Familistère de Guise


LIEU D’ÊTRE AU FAMILISTÈRE DE GUISE | compagnie Acte | Annick Charlot chorégraphe


Un manifeste chorégraphique pour l’utopie d’habiter...


Inauguration l PLACE DU FAMILISTÈRE l Sam 13 juillet 2013, 15h


En juin 2013, le Familistère de Guise a acceuillit en résidence la chorégraphe-danseuse Annick Charlot et sa compagnie Acte, pour réinventerau Palais social avec les habitants de la région le LIEU D'ETRE créé à la Biennale de danse de Lyon en 2010.


Répétition de voltige par la compagnie Acte sur la façade du pavillon central du Familistère, 25 juin 2013 | phot. FkP_Familistère


La recomposition de la place du Familistère et des abords du Palais social a été l’objet en 2010 d’un concours remporté par l’équipe de maîtrise d’oeuvre formée par h2o architectes et Michel Desvigne Paysagiste. Placé entre cour et jardin, le palais d’habitation retrouve par le déploiement d’un vaste tapis de briques anthracite l’unité et la géométrie qui donnent sa puissance à la grande expérimentation sociale du xixe siècle. Libéré du stationnement des véhicules mais perméable à la circulation, l’espace public au sud est réouvert en qualité d’espace partagé.


Le Paysage Unitaire Michel Desvignes et H2O 1er Mai du Familistere lFamilistère de Guise


La place du Familistère : espace partagé, espace chorégraphié  : Jean-Baptiste André Godin (1817 -1888) conçoit le Familistère en 1858 comme le vaste champ ouvert à l’expérimentation de la coopération intégrale. Réinterprétant une histoire encore efficace, la nouvelle place du Palais social est la proposition d’un territoire commun. Par Jean-Pierre Balligand, président du syndicat mixte du Familistère Godin. LIRE LA SUITE →


A SUIVRE L'ACTUALITE DE L'EVENEMENT SUR BLOG DE LIEU D'ETRE AU FAMILISTERE


120829 together 00 TEASER from Tapio Snellman on Vimeo.


le beau c'est facile, ce qui est difficile c'est le brut, le vraiment brut...LINA BO BARDI

Dans le quartier de Palmeiras à São Paulo, une ancienne usine aligne ses ateliers du début du XXe siècle avec d'étranges blocs de béton. Il s'agit du centre social et culturel Pompeia, destiné aux employés du commerce, le SESC. Son architecte Lina Bo Bardi préfère parler d’une citadelle du loisir, tout un symbole : à la fois reconversion d’un lieu de travail, l'usine Pompeia, et affirmation d’une alternative devant la métropole. Une œuvre majeure de l’architettura povera.


====== La Citadelle du loisir - Le centre social Pompeia à São Paulo l Collection ARCHITECTURES l Un film de Richard Copans l Une coproduction ARTE France, Les Films d’ici, la Cité de l'architecture et du patrimoine (France, 2012), avec la soutien du Centre national du cinéma et de l’image. Dans le quartier de Palmeiras à São Paulo, une ancienne usine aligne ses ateliers du début du XXe siècle avec d’étranges blocs de béton, qui se dressent face à la ville et à ses tours.


A VOIR ABSOLUMENT SUR ARTE+7 AVANT MIDI


Suivre @LEBLOGDELAVILLE_info sur Twitter et Facebook

L'homme et la nature
Une histoire mouvementée
Valérie Chansigaud
Ed Delachaux et Niestlé, 2013


Comment en sommes-nous arrivés là ? C’est la question lancinante que nous nous posons à chaque annonce de la disparition d’une espèce ou de l’épuisement de ressources naturelles. Notre monde en crise a besoin d’explication et retracer l’histoire de l’influence de l’homme sur la nature pour en avoir une vision globale et précise est devenue une impérieuse nécessité.


Il était grand temps qu’une synthèse historique (la première du genre) de l’impact de l’homme sur son environnement et la biodiversité décortique nombre de mécanismes économiques, sociaux, culturels et politiques à travers des exemples concrets pour nous donner des outils d’analyse précis et justes.


Ce panorama historique mondial, à la fois accessible et passionnant, présente un ensemble de documents variés, souvent inédits :– un tour du monde en cartes pour comprendre les moments clés et les grandes tendances, des représentations graphiques claires de données chiffrées, – des chronologies détaillées, – des illustrations et des photos pertinentes.


La conquête de la terre par les premiers hommes, les grands empires antiques, le partage politique du monde à la Renaissance et les colonisations, l’industrialisation et la production de masse, la société de consommation et la globalisation, l’essor de l’écologisme et de l’environnementalisme sont autant de périodes et de sujets que cet ouvrage interroge magistralement pour expliquer les enjeux auxquels nous devons faire face au regard de notre héritage.


Née à Lyon en 1961, passionnée depuis l’enfance par les relations entre les êtres humains et la nature sauvage, Valérie Chansigaud, historienne des sciences et de l’environnement, se penche tout d’abord sur l’étude des araignées. Elle crée, de 1989 à 1994, la revue Pénélope consacrée à ces charmants« animaux méprisés et méconnus, alors même que leurs mœurs sont absolument passionnantes » écrit-elle. en savoir plus >


(ré)écouter l'émission  l L'homme et la nature. Une histoire mouvementée sur France Inter/La tête au carré 

Marche et espace urbain
de l’Antiquité à nos jours
REVUE CLARA N°1


La Revue Clara Architecture/Recherche est inaugurée en 2013 par le Centre des Laboratoires Associés pour la Recherche en Architecture de la faculté d’architecture de l’Université libre de Bruxelles.


Au croisement entre réflexion théorique et enjeux concrets, l’ambition de la revue est à la fois d’aborder des thématiques qui correspondent à des enjeux concrets tout en prenant le recul nécessaire à une analyse globale. Ce premier dossier thématique mélange les genres et les disciplines de l’Antiquité à nos jours. Ces articles scientifiques s’accompagnent d’autres formes d’écriture propres au champ architectural et urbain opérationnel.


Marche et espace urbain dans le fonds, Joël Claisse, Irène Lund  ; Vers une approche pluridisciplinaire de la marche et de l’espace urbain, Judith Le Maire, Christophe Loir, Anne Desprechins ; Pratiquer la ville autrement perception tactile des sols de quelques villes du passé à la lumière de récits d’écrivains voyageurs, Marc Crunelle ; La ville en chantier ou la marche entravée : vers une conception renouvelée de l’urbanisme oriental romain, Laurent Tholbecq ; Parcourir la ville le marcheur et les temples à l’époque romaine, quelques pistes de réflexion, Audrey Bertrand ; Dans les pas des incas. Architecture précolombienne et syntaxe de l’espace, Peter Eeckout ; Quand la marche raconte la ville : quelques itinéraires de la cour à Bruxelles (XVIè-XVIIè siècles), Stéphane Demeter et Cecilia Paredes ; Embellir la vile pour le piéton : la prise en compte esthétique et fonctionnelle du piéton dans la littérature sur les embellissements de Paris de Pierre Patte à Eugène Hénard, Nicolas Lemas ; Les flâneurs, observateurs du paysage des grandes cités dans le quartier du West End à Londres au début du XXè siècle, Dana Arnold ; Arpenter, guider, jalonner la marche, outil des processus participatifs en architecture et urbanisme du XXè siècle, Judith Le Maire ; La marche le marketing du corps, Dominique Rouillard ; Entre urbanisme et déplacements au Grand Lyon, Bernard Lensel ; La meilleure façon de marcher : une analyse des rapports inégaux à la mobilité contemporaine, Christine SChaut ; Entre mobile aujourd’hui : quelques acquis récents de la recherche en sciences sociales et enseignements pour la marche urbaine, Michel Hubert.


SOURCE LE CRESSON VEILLE ET RECHERCHE

Illustration de la couverture : Carrefour de gare. 54x73cm. Huile sur toile ©Ariane Laroux

PAYSAGES URBAINS
Suivre le trajet du regard
Ariane LAROUX

Ed l'Age d'homme, 2013 


Ariane LAROUX dessine et peint toujours directement, sans esquisse ni retouche, privilégiant le Plein et le Vide, les Fragments, les Passages, Suivre le trajet du regard ...


Voyager : dans les villes et les architectures d’Europe : Paris, Londres, Berlin, Amsterdam, Genève, Bruxelles, Milan, Venise. Traverser : les frontières intérieures de la Suisse : Bâle, Zürich, Berne, Bienne, Lausanne, Genève, Gstaadt, Charmey, Château-d’Oex, Jaunpass, Fribourg, Chandolin, Gruyère. Rencontrer : des gens comme des paysages, portraits-interviews : Michel Butor, Nicolas Bouvier, Germaine Tillion, Ella Maillart, Georges Haldas, Benno Besson, Hubert Reeves, Michel Viala, Monique Jacot, Wim Wenders, Solveig Donmartin, Michel Mayor, les Mummenschanz, Franz Weber, Boris Cyrulnik.


  Tout communique : Sous la gare de Berne, du Saint-Nicolas aux tags et au chariot à bagages. Huile sur toile marouflée sur bois ©Ariane Laroux


De 1984 à 2013, Ariane Laroux a exposé chaque année son travail sur les Paysages urbains, les Carrefours, la Communication. Intégrant dans ce travail « les déplacements d’objets, d’ombres, de temps et d’heures », « la perspective courbe », « le plein et le vide », « suivre le trajet du regard ».


Préface d’Olivier Mongin, directeur de la revue Esprit : … Dessinant depuis toujours des théâtres, des lieux publics, Ariane Laroux se place fréquemment dans les lieux de rencontre, dans les rues et sur les places à Genève ou à Venise, dans les espaces dits de connexion. Dans les gares par exemple, à Bâle, Paris, Berlin ou ailleurs: elle aime les gares, là où les paysages dessinent des corps humains mobiles car en transit. Ces espaces publics qui sont le ressort de la condition urbaine sont innombrables chez Ariane Laroux qui en dessine les traits majeurs, ceux de la mobilité humaine et du mouvement qui fait sens. Ces paysages urbains sont des portraits, des visages qui troublent… composé d’espaces publics qui mettent en commun des sites humains et géographiques, des corps, des scènes. Un commun qui est celui de la «biographie» de celle qui grave. Un commun dont tout le monde ne jouit pas, un commun qui se conquiert.


Un commun qui, dans l’état de l’urbain contemporain est l’utopie concrète d’Ariane Laroux


Avec des textes d’art de Jean-Luc Daval, Erika Billeter, Nicolas Mann, Jean Lacouture, Michel Thévoz, Laurence Chauvy, Philippe Mathonnet, Patrick Rudaz, Brigitte Mantilleri.


Fab Tree Hab Village, Living Graft Prefab Structure


Terreform One


Living Graft Prefab Structure (structure vivante greffée préfabriquée) est composée à 100 % de matériaux vivants. Fab Tree Hab Village est un concept de logement destiné à remplacer nos solutions obsolètes de design architectural, un « habitat pour l’humanité ». Terreform One proposons une méthode pour faire pousser des logements à partir d’arbres indigènes. Lorsque l’arbre est suffisamment grand, il est greffé avec une structure préfabriquée conçue par ordinateur. Avec ce principe de construction, le logement devient indistinct de l’écosystème environnant, il s’y intègre totalement et vit en symbiose avec lui, créant ainsi la possibilité d’une communauté écologique. Ici les doctrines anthropocentriques traditionnelles sont renversées et la vie humaine est englobée au sein de son environnement.

Ici les doctrines anthropocentriques traditionnelles sont renversées et la vie humaine est englobée au sein de son environnement.


SOURCE EN VIE/ALIVE

Comment se conduire dans les lieux publics
Notes sur l'organisation sociale des rassemblements
Erving GOFFMAN, postfacé par Daniel Cefaï
Ed Economica, 2013


Comment se conduire dans les lieux publics ? Dans ce livre, Erving Goffman développe pour la première fois en détail sa conception de l’ordre de l’interaction et des occasions sociales.


En analysant des situations de rencontre et de rassemblement dans les termes d’une « écologie » des engagements, il forge des concepts qui ont depuis fait école dans l’étude des espaces publics urbains ou dans celle des meetings et des manifestations politiques. En puisant dans le terrain de sa thèse aux îles Shetland et en lisant des manuels de savoir-vivre, il décrit minutieusement le jeu des civilités qui règle les relations en face à face. Il en tire une analyse des propriétés situationnelles.


Goffman recadre, dans une conception de l’ordre public, les interactions de « race », de classe ou de genre. Il revient sur les éléments de l’enquête d’Asiles, en approfondissant son interprétation de la folie comme menace sur l’ordre des interactions. Il éclaire également sous de nouveaux aspects les thèmes de Stigmate : les notions d’inattention civile et d’accessibilité seront reprises par les mouvements de revendication des personnes en situation de handicap et plus largement, par les minorités visibles.


Ce livre, publié en 1963, reste un chef-d’œuvre de microsociologie.


A lire l Goffman sur la place publique l Le dernier ouvrage non traduit du sociologue américain l Téléphone mobile, mail, messagerie instantanée, vidéoconférence, réseaux sociaux : à chaque apparition d’une nouvelle technologie de communication et, surtout, des usages individuels et collectifs qu’elle inaugure et institutionnalise, on s’est immédiatement surpris à penser à Erving Goffman, aux concepts lumineux qu’il n’aurait pas manqué de forger pour rendre compte d’interactions sociales jusque-là totalement inédites l Par SYLVAIN BOURMEAU l 19 juin 2013 l Libération l LIRE LA SUITE...

La formation des groupes de jeunes en milieu urbain
Pratiques spatiales et rapports sociaux
Alexis Ferrand
Ed L'Harmattan, 2013


L'ouvrage propose un modèle qui articule socio-économie marxiste, théorie de la pratique de Bourdieu, sémiologie de l'espace , et psychanalyse des phénomènes collectifs pour expliquer les activités des groupes de jeunes dans l'espace urbain. Montrant, les rapports de domination qui fondent le double jeu des institutions de socialisation et d'encadrement des loisirs, et les tensions entre jeunes pour l'appropriation des espaces.


Alexis Ferrand est sociologue, Professeur émérite Université Lille 1, CNRS CLERSE UMR8019, Centre Lillois d'Etudes et de Recherches Sociologiques et Economiques. Enseignant à Grenoble, détaché au CNRS (pour l'enquête sur les comportements sexuels, ACSF), professeur à Lille, il étudie les réseaux de relations personnelles depuis 1980. II a conduit des recherches sur les effets normatifs et cognitifs des relations de discussion sur la sexualité et la santé.

Skateboard VS Trottinette : La guerre dans les skateparks !


Skateboard et BMX cohabitent jusqu'à présent dans les skateparks nationaux. Mais récemment, un nouvel engin s'immisce dans la grande cour de récré freestyle : la trottinette. Et l'entente ne semble pas toujours évidente.


Champion de Trottinette Freestyle


Le temps passe et les références des jeunes se renouvellent perpétuellement. Si dans les dessins animés la génération Pokémon a été détrônée par celle de Hello Kitty, les sports urbains n'échappent pas à la règle. Il y a eu l'engouement pour le skateboard suivi de près par le BMX. D'ailleurs,la compétition pour désigner le meilleur street skateur des X Games de Munich 2013 a débuté. Mais de nos jours une autre génération s'envoie en l'air en ... trottinette.


Skateboard VS Trottinette : La guerre dans les skateparks ! Par Coralie l meltyXtrem l 6/06/2013 LIRE LA SUITE...

Suivre @LEBLOGDELAVILLE_info sur Twitter et Facebook

©Looking for architecture l MAZAGRAN


Pourquoi vouloir minéraliser ce qui est végétal et végétaliser ce qui est minéral à quelques mètres d'intervalle ?


Le projet envisagé par LOOKING FOR ARCHITECTURE prévoit deux espaces : un espace pour un (nouveau ?) jardin partagé et un autre pour installer des jeux d'enfants. Le projet prévoit de déplacer le jardin pour installer des jeux d'enfants, plutôt que d'installer les jeux d'enfants là où le jardin serait déplacé ...et puis les enfants jouent aussi dans les jardins !


Jacques Dutronc, le petit jardin, 1972


De grâce, de grâce Monsieur le Maire préserver cette grâce et laisser à sa place le jardin d'Amaranthes !

HALTE AU MASSACRE !!!


Le projet d'aménagement du quartier Mazagran à la Guillotière ( Lyon 7ème) prévoit le déplacement du jardin partagé d'Amaranthes pour faire à sa place un espace de jeux d'enfants géré par la ville.


Nous, usagers et visiteurs, sommes choqués de cette décision.  En effet, nous ne comprenons pas pourquoi un si bel endroit doit disparaître. Cet espace cultivé par des jardiniers associatifs, nous offre chaque jour, la possibilité d'admirer une multitude de plantes variées qui ravivent nos sens, et permettent à nos enfants diverses activités de découverte de la nature (jardinage, arrosage, plantations accompagnées, cueillettes de fruits et légumes etc...) dans un milieu urbain où les espaces verts sont rares, voire inexistants.


Nous sommes heureux de savoir qu'une place est réservée aux enfants dans le projet d'aménagement du quartier Mazagran. Mais nous ne comprenons pas pourquoi le jardin associatif doit être déplacé et l'actuel jardin d'Amaranthes détruit !


Jardin d'Amaranthes actuellement ...


POURQUOI REFAIRE AILLEURS CE QUI EXISTE DEJA ET QUI NOUS ENCHANTE ? QUEL COUT FINANCIER ET HUMAIN POUR UN TEL PROJET ? COMBIEN D'ANNEES FAUDRA-T-IL AUX JARDINIERS POUR NOUS OFFRIR UNE VEGETATION AUSSI LUXURIANTE ?


C'est pourquoi nous demandons : QUE SOIT CREE AILLEURS L'ESPACE DE JEUX POUR ENFANTS ET QUE LE JARDIN D'AMARANTHES PUISSE PERDURER LA OU IL EXISTE DEPUIS DES ANNEES.


SIGNER LA PETITION !*




*Petition "Maire de lyon 7ème, laisser à sa place le jardin d'Amaranthes" l par cecile Livrozet, usager du jardin l change.org

© dominique gauthey / toute utilisation non autorisée sans accord


République, espace public


La place de la République a rouvert ce matin après un an et demi de chantier, inaugurée par le maire de Paris Bertrand Delanoë. Elle offre la plus grande esplanade piétonne de la capitale. Il y a trois ans, quand ils ont gagné le concours pour le réaménagement de la place de la République, les architectes Pierre-Alain Trevélo et Antoine Viger-Kohler voulaient qu'on puisse s'asseoir sur les genoux de la République. Eh bien, c'est fait...


République, espace public l Grand Paris et petits détours l blog Libération l LIRE LA SUITE...


© dominique gauthey / toute utilisation non autorisée sans accord
Paris: rénovée, la place de la République est rendue aux piétons

C'est une petite révolution, qui aura vu la victoire des piétons sur les automobilistes: haut lieu de contestation populaire, la nouvelle place de la République à Paris sera inaugurée dimanche par le maire, Bertrand Delanoë, après un an et demi de travaux qui ont bouleversé sa physionomie.


Paris: rénovée, la place de la République est rendue aux piétons l Stéphanie LEROUGE (AFP) l LIRE LA SUITE...


©dominique gauthey / toute utilisation non autorisée sans accord


Photos ©Dominique Gauthey l 06 98 43 65 23 l 09 81 16 98 98 l d.gauthey@gmail.com


Ludifier l’espace public pour inciter les citadins à pratiquer la ville? L’exemple par le mobilier urbain


Le concept de ludification de la ville est un concept largement employé dans le domaine de l’aménagement. Cet article se concentrera alors surtout sur la question de la ludification du mobilier urbain. Composante nécessaire des espaces publics, le mobilier urbain joue un rôle essentiel dans l’expérience urbaine des usagers, et influence largement la qualité et la fréquentation d’un espace public. En effet, qui s’attarderait dans un espace dénué d’assises ? Le mobilier urbain fait ainsi parti de ces éléments qui peuvent inciter les citadins à pratiquer la marche, à déambuler dans les espaces publics et à prolonger leur temps passé dans ces espaces.


Ludifier l’espace public pour inciter les citadins à pratiquer la ville? L’exemple par le mobilier urbain l Vers un renouveau territorial l par Claire Gervais (@Le_bug_urbain) l 21/05/13  l LIRE LA SUITE...