Le problème numéro 1, touchant des millions de personnes, reste celui des déplacés :
“…En 2008, pour garder la vie sauve, des milliers de familles de zones rurales ont été obligées de s’enfuir de chez elles en abandonnant tout ; elles essaient de se reconstruire une vie ailleurs, souvent dans des bidonvilles urbains. Les deux tiers des personnes déplacées qui reçoivent une aide du CICR disent qu’elles ont été menacées de mort, et une sur dix dit avoir été menacée de recrutement forcé dans un groupe armé”.
Le rapport complet est téléchargeable ici.
On peut réécouter son interview lors de la dernière libération d’otages en février dernier.
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