Pour la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, il existe un gros bagage scientifique démontrant l’existence d’incertitudes sur les impacts sanitaires des téléphones portable, mais ce n’est pas le cas des antennes relais, alors que pour les ONG, dès le départ le problème me des antennes relais est minimisé.
Le gouvernement présente le problème de la téléphonie mobile comme une priorité et la secrétaire d’Etat à l’écologie, Chantal Jouanno a évoque la possibilité de suspendre les implantations d’antennes dans l’attente des résultats des deux grandes études, l’une française et l’autre internationale qui doivent faire le point concernant toutes les connaissances scientifiques sur le sujet, attendues pour septembre.
Dans ce cas, un moratoire permettrait d’ajourner les travaux de la table ronde, en attendant la publication de ces études.