Spot de stars | REGARDEZ - Stéphane Rotenberg: son Indonésie à lui

Publié le 26 avril 2009 par Fouchardphotographe @fouchardphoto

Il revient de Pékin Express avec des souvenirs plein la tête

Alors que, sur vos écrans, les aventuriers de Pékin Express reprennent la route ce vendredi, Stéphane Rotenberg nous fait partager sa découverte des mille facettes de l'Indonésie. Une destination idéale pour les voyageurs accomplis.

Les voyages, il connaît. Les trois précédentes saisons de Pékin Express l'ont rôdé. Stéphane Rotenberg n'a peur d'aucune destination et part régulièrement en observation pour trouver les meilleurs spots de tournage pour son émission. Ce qu'il aime, c'est le désert. Il a aussi «un faible pour le Brésil», mais, fraîchement revenu d'Asie du Sud-Est, Stéphane Rotenberg n'avait que l'Indonésie à l'esprit: «Je ne connaissais pas, c'est incroyable, c'est immense –le plus grand archipel du monde - 17000 îles!»

A la découverte des peuples

Là-bas, l'animateur rencontre un accueil très chaleureux: les Indonésiens sont «doux, sereins». Une douceur qu'il vit comme un soulagement, après les problèmes subis au cours des quarante-cinq heures de tournage dans cinq pays (Vietnam, Cambodge, Laos, Thaïlande, Indonésie). Avec les candidats du jeu, il a notamment subi la crise thaïlandaise quand «les bottes ont claqué» et quand l'aéroport de Bangkok a été bloqué.

En Indonésie, ce qui séduit notre voyageur aguerri c'est la diversité: «une nature sauvage, des plages incroyables, des villes fascinantes(...) Et si on cherche moins l'aventure, il y a Bali. Une ville très occidentale, où il y a beaucoup de très beaux hôtels. C'est très chic.» Mais finalement, ce n'est pas ce qu'il recherche. Lui, Stéphane, aime être «déraciné»: «la rencontre de populations qui ne parlent absolument pas votre langue, ni même l'anglais, une culture musulmane à l'asiatique, des traditions, des repas très divers... On est perdu, on perd ses habitudes».

Sa carte postale à lui?

Un beau cliché du volcan Kawa Ijen : «il est en activité. C'est la plus grande réserve d'acide sulfurique du monde. Il surplombe un immense lac bleu turquoise, dans lequel on a envie de plonger, mais attention! C'est de l'acide sulfurique. C'est compliqué d'y accéder, mais c'est un choc visuel extraordinaire.» Le côté «chapelet d'îles» l'a aussi particulièrement séduit. «On peut vivre le cliché du séjour en amoureux, parce qu'il y a des plages de rêve.» Très peu pour lui, car il «a travaillé»: «nous étions très nombreux donc au niveau de l'intimité, c'était limite...»

Dans le sac de Stéphane

Encore une fois, aucune destination ne surprend le globe-trotter. Et même s'il a en général besoin de quelques uns de ses livres préférés, il serait prêt à partir en Indonésie sans aucun accessoire en particulier: «chacun a ses propres coquetteries, mais moi je n'en ai pas».

A table

«Les Asiatiques sont des génies pour la cuisson de toutes sortes de légumes que nous ne connaissons même pas. Mais je ne peux pas vous citer un plat en particulier parce que d'une région à l'autre, tout change.»

Ceux qui marcheront dans les pas de Stéphane Rotenberg découvriront des «poissons incroyables», pas tellement de viandes, et une cuisine tantôt épicée, tantôt très douce. «Il faut aimer être surpris. L'Indonésie n'a pas la réputation d'une excellente gastronomie, mais moi j'ai été bluffé».

Précautions d'usage

On a compris qu'il ne vaut mieux pas aller dans le sud du pays «le nez au vent», parce que la situation est quelque peu compliquée politiquement.

Mais à écouter Stéphane Rotenberg évoquer de ce pays, on a pratiquement décidé d'y aller...

www.gala.fr - Photo : Philippe FOUCHARD