A la lecture de ce billet: The end of monopoly? (Organizing Stuff)...
Je suis d'accord: "To these digital natives, (...), the world doesn’t divide into online and offline; it’s all converged."
Je demande à voir: "They expect to be co-creators."
Je suis d'accord: "JP expects libraries will continue to become social spaces where we learn and explore together, and he expects physical books to persevere because they are so well engineered for knowledge and extended argument."
Je ne suis pas d'accord: "I'm not convinced of that. I think books may turn out to be an accident of paper."
Ici, je ne sais pas de quoi il parle...: "How do we go about that; how do we get librarians to give up on their monopoly of being the profession that have the right to say what books in libraries are about and how we should think about them?". En tout cas, dans les BU, ce sont les académiques principalement qui définissent les politiques d'acquisitions en concertation avec les bibliothécaires-gestionnaires de l'information. De quel monopole parle-t-il? Des quelques suggestions d'achat que j'effectue? En toute modestie, elles sont généralement acceptées et aussi pertinentes que celles des étudiants et/ou des enseignants... (Dans le même ordre de (mauvaise) idée, voir les claques que prennent les journalistes professionnels: plus besoin d'eux, y a les "journalistes citoyens", avec leurs portables et leur authenticité... et leur soif de faits divers.)
Enfin, il veut quoi, "polluer" encore davantage les Opacs? :-): "When will it be the norm that I can add my categories, my thoughts, my comments to any book in any library catalog?". Ce débat commence à sentir la moisissure. Ce que nos utilisateurs (dans les BU) souhaitent avant tout et de tout temps, il me semble, c'est: trouver ce qu'ils cherchent sans perdre trop de temps (peu importe le support, électronique ou papier), découvrir de nouvelles ressources (d'où la nécessité de bien les structurer et de bien les organiser, notamment sur les Opacs), bénéficier d'une aide appropriée.