Je vous raconte pas comme j’étais jouasse, les hulottes, quand j’ai vu que ce coup-ci j’incédulisais un peu moins sur les pubs H&M que d’habitude.
C’est à dire que c’est toujours aussi javelisé/aseptisé/de la plaque à côté (c’est juste pour la rime), et ça fout toujours autant le bourdon dans le métro tellement c’est glauque, mais ce coup là, on admire El Magnifico, El Sublissimo, El Fantastico, El Hottissimo, Vincent Gallo, un des hommes les plus sexy que la Terre ait jamais porté.
Attendez je vous le balance en gros plan looké Bel-Ami:
(suggestion de présentation. Photo non contractuelle)
D’ailleurs j’avoue que je suis un peu choquée, quand je vois qu’il est passé de ses films indépendants concepto-underground qui sont des chefs-d’oeuvre, aux pubs H&M. Oh mais voilà, je suppose qu’il faut nourrir femme et enfants malgré tout, lorsqu’on est un visionnaire (Optic 2000).
(et pour convaincre les oies que cet homme inconnu au bataillon fait des films formidables, j’ajouterai qu’il a joué avec notre fashionista préférée (???) Chloé Sévigny, même que dans le film elle lui fait une gâterie et qu’on voit tout!)
(et les quinze jours qui suivirent cet article, les ventes de The Brown Bunny explosèrent à l’infini et au delà…)
Bon par contre, autant je me rince l’oeil sévère dans le métro, autant j’ai toujours pas compris pourquoi la brune a l’air d’avoir un Q.I de pâte à crêpe sur à peu près toutes les photos.
La police scientifique de l’Idaho et de Dunkerque cherchent toujours.