Allez, hop, me revoilà.

Pfiou.

J'ai trop d'excuses pour mon long silence de quasiment deux fois une semaine, je ne sais même plus laquelle choisir...

- Déjà, on vient de se faire 15 jour de vacances de Paques... je dis vacances, je parle des vacances des instits bien sûr, parce que de ma fenêtre, mes vacances commencent lundi en fait, à la rentrée :D... Pour te dire l'ami/e, comme c'était grave: j'ai même été dépenser 100 euro chez Loisirs et Création (oui, moi), pour faire des découpages, des collages, des peinturages, enfin, bref, des trucs qui occupent 5 les enfants pendant ....15 jours....ouaip.

- Ensuite, il y avait les entretiens, là, tu sais, les trucs qui font que au final tu trouves un boulot qui te paye (enfin, avec un peu de chance), donc, ça, c'est fait. Tout plein même... maintenant, j'attend quelques réponses, enfin, une suffira.

- Pis y'avait aussi le grave problème de l'auto-censure là. Dès que j'avais envie d'écrire un truc, PAF, j'me remballais ma note vite fait bien fait, direction la poubelle virtuelle cimetière de notes. Pas cool.

Et là, hier soir, une révélation: dans une série US (oui, bon, et alors?), une phrase m'électrise. Comme quoi il paraitrait que les gens condamnés à vivre en enfer (je suis athée, hein, donc je décline toute responsabilité sur ce qui suit), donc ces pauvres gens là, en fait, leur punition, c'est de "vivre" soit dans le passé, soit dans le futur, mais JAMAIS dans le présent. C'était ça le deal avec le diable himself..... Et là, je me dis tout bas en cachette.... Mais.... je vis au portes de l'enfer!!!!!! Et donc, ni une, ni deux, je décide de me reprendre en main, ayant remarqué une certaine dérive de ma pauvre personne à repenser limite trop borderline au passé, et à me projetter limite trop borderline dans le futur inconnu. Faut qu'ça cesse. Je vais quand même pas m'auto infliger l'enfer. C'est abuser.

Voilà, c'était tout. Pour ce soir. Parce que j'ai mis toutes mes excuses à deux balles à la poubelle, et je suis dans le présent. J'écris, donc je suis :p

Bonne soirée l'ami/e.

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