C'est ce soir que sera donné le coup d'envoi de la quatrième édition de Pékin Express. Stéphane Rotenberg revient sur les conditions de tournage du jeu et assure que face à la polémique concernant de possibles tricheries lors des saisons précédentes, de nouvelles précautions ont été prises.
Interviewé par 20minutes.fr, Stéphane Rotenberg revient sur le tournage de Pékin Express en Asie du Sud-Est.
Pour commencer, il tient à assurer qu'aucune tricherie ne sera possible cette année. De nouvelles mesures ont été prises afin d'éviter une quelconque polémique à ce sujet. Il détaille les nouvelles conditions de tournage : "Des journalistes ont été invités sur le tournage pour voir comment ça se passe (... ) On a tout fait pour être le plus clean possible. Nous avons rajouté des petits éléments de transparence comme le dépôt d'une « bible » chez un huissier."
Cette "bible" contient l'ensemble des détails concernant chacune des épreuves.
Dans un contexte géopolitique tendu, le tournage de Pékin Express a connu quelques désagréments, confie Stéphane Rotenberg : "Globalement, les candidats sont bien accueillis par les habitants et les autorités. Mais dans les coins reculés, il est arrivé que des villageois, par réflexe, nous dénoncent à la police locale".
Il aura aussi fallu affronter les douanes et les interminables heures d'attente : "Il y a des passages de douanes compliqués, ce sont des pays qui sont ouverts depuis une quinzaine d’années et il reste encore de vieux réflexes", explique l'animateur à France Soir.
Par deux fois, le tournage a dû être interrompu, deux jours de blocage de l'aéroport de Bangkok par des manifestants, et à nouveau deux jours d'arrêt pendant la mousson. "C'est formidable, ça crée du contenu. Mais sur plan logistique, c'est l'enfer ! "
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