Mais le Prince aura eu un comportement de roturier sans scrupules : les accords signés avec l'agence garantissaient 15 % des bénéfices bruts de la vente, après que les agents ont justement négocié les contrats avec les éditeurs. Sauf que durant l'été 2008, alors que Vigliano tentait de finaliser l'accord avec le chanteur, se appels sont restés sans réponse et Prince, tout comme les éditeurs, ont fait les morts.
On s'attend alors à ce qu'une entente sournoise ait été mise au point et que l'agence ait été évincée au dernier moment. Vigliano escompte récupérer au minimum 200.000 $ d'impayés, un montant de dommages-intérêts non dévoilé ainsi que le remboursement des frais d'avocat.