Bonjour Olivier,
moi, j’ai bien aimé (c’est peut-être pour cela que je ne travaille pas dans une maison d’édition).
Je ne vais pas ici faire une « critique » approfondie de votre nouvelle (j’en serais premièrement incapable et deuxièmement, j’imagine aisément que les progrès dus à votre travail depuis ladite nouvelle vous permettent d’analyser objectivement les points positifs et négatifs de cette dernière.
Toutefois, j’avoue que la répétition du mot « regard » dans les deux premières lignes m’interpella ainsi que le trois ou quatre fois « heure » mais peut-être était-ce voulu.
Passé cette réflexion, je passai moi-même un agréable moment à vous lire. J’ai adoré le : « ils bondissaient l’un et l’autre vers des contrées hostiles d’où
nul robot en plastique n’était jamais revenu. »
Je suis tenté de dire qu’aujourd’hui le linge est propre mais que l’eau est devenue sale, faut toujours qu’il y ait un truc de travers !