Le tourisme sur le continent blanc s’est fortement développé entre 1992 et 2008 passant, selon l’Association internationale des tour-opérateurs de l’Antarctique de 6 700 clients à 48 000, en dépit des risques présents dans cette zone de navigation, qui se sont soldés par une série de naufrages.
Conscient de cette situation, les 28 pays membres du traité de l’Antarctique, réunis à Baltimore pour marquer le 50è anniversaire du traite ont décidé a que les navires transportant plus de 500 passagers ne pourraient plus y accoster et que le nombre de touristes présents sur un site même site ne pourrait excéder 100 personnes.
Chaque pays membre est tenu d’assurer une surveillance depuis ses bases ainsi que les secours en cas d’accident, depuis l’un des cinq centres de sauvetage, par contre rien n’est réellement prévu pour faire face à une catastrophe écologique de grande ampleur.