Une société est faite de ses deux secteurs! Complémentaires!
Il est à mon sens de l’ordre de l’État d’assurer à tous les citoyens les mêmes conditions d’accès initiale à l’éducation, la formation. Pour que cela puisse ce faire dans de bonne condition, il est nécessaire d’assurer la sécurité, l’accès à des soins de qualité, au logement. Pour s’assurer que chacun puissent participer à son développement il est normale que la nation réfléchisse et s’investisse dans le soutien à la vie associative et citoyenne.
Pour fonctionner dans de bonne condition les entreprises ont besoin d’infrastructures sociales, urbaines, structurelles de bonne qualité. Elles ont besoin d’une nation qui prenne des risques en développant la recherche, en s’engageant dans de grands travaux qui structurent un pays mais qui participent également au dynamisme économique par sa capacité d’innovation.
Un état ne peut pas et ne doit pas tout faire, il doit nécessairement s’appuyer sur un tissu économique, dynamique , innovant pour assurer les services quotidiens, mais également la cohésion sociale par la création d’emploi et permettre ainsi à chaque citoyen de trouver sont utilité social.
Dans son édito d’avril mon ami Gilles parle de deux cultures différentes. Oui il est indéniable qu’une culture de service public et une culture d’entreprise sont différentes. Elles ne sont pas pour autant opposable . Elles se complètent pour répondre à l’intérêt général. Ce qui peut et doit les réunir c’est de mettre au cœur de leurs objectif la réponse au besoins des hommes et des femmes de notre planète.
Il est sain
- que des hommes et des femmes ne mettent au cœur de leur préoccupation la rentabilité ou l’atteinte d’objectifs financiers dès lors qu’il s’agit de droit aussi fondamentaux que l’éducation la formation, la santé, l’accès à la culture,….
- que d’autres puissent s’investir sur un projet personnel qui répondent au besoin d’une nation et à la nécessaire émulation pour que la société humaine progresse.
Alors oui dans ces temps de crise il faut dénoncer, montrer du doigt tout ceux qui s’octroient des salaires faramineux et autres parachutes dorés. Il faut lutter contre des critères de rentabilité qui obligent les acteurs économique à répondre aux objectif de rentabilité boursière au détriment du développement du travail et des conditions de son exécution.
Il n’y pas lieu d’opposer un secteur public qui par exemple durant les grandes tempêtes de cet hiver à permis au pays de continuer dans les moins mauvaises conditions et un secteur privé qui participe à l’innovation et à la réponses des besoins des habitants.
Il y a lieu de dénoncer c’est la richesse facile, insolente et inhumaine.
Il y a lieu d’inventer toujours et encore les meilleurs complémentarités entre les deux secteurs.
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