Durban, selon Wikipedia, est une petite commune du Gers, où résident 162 habitants.
Durban, c’est aussi une cité balnéaire sud-africaine, où se déroula en 2001 la première conférence sur le racisme organisée par l’UNESCO. Une conférence de vilaine mémoire, lors de laquelle le sionisme fut assimilé à une forme de racisme.
Fallait-il donner une suite à Durban? Apparemment, ces têtes d’oeufs de diplomates ont décidé que oui. Et lancé un Durban II à Genève, conférence au cours de laquelle le président iranien s’est encore une fois illustré en proférant des âneries indignes de son pays, et d’une tribune dépendant des Nations Unies. Et cela, le jour même où Israel commémore – hasard du calendrier lunaire – Yom haShoah, en souvenir de l’extermination des juifs d’Europe par les Nazis.
On peut se demander quelle est l’utilité de ces conférences absurdes, où des moyens phénoménaux sont dépensés, ne serait-ce qu’en voyages et conférences de préparation, ou en services de sécurité mobilisés pour protéger des abrutis comme Mr Ahmadinejad. Plus qu’un boycott de telles réunions, et en période de récession globale, je serais plus enclin à une coupure drastique des moyens financiers accordés à de tels événements. Comme cela, il n’y aura ni Durban III, ni Durban IV.
Rien que des endurbanais.
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