Voilà qui fait partie des sujets que j'ai envie d'évoquer ici mais que je ne sais pas trop par quel bout prendre. Ca me cause, cependant.
Alors avec du Brassens à l'appui, forcément que ça prend de l'allure.
Je veux parler de ces salariés qui empruntent leur patron. Le séquestrent comme disent les médias.
Une drôle d'alternative qui a déboulé dans nos informations et dans les modes de manifestation. Signe des temps. Signe de crise mais pas que. De prime abord, ça ne me plaît pas trop. Mais je me doute bien que ce n'est pas aussi simple que ça. Alors j'aime assez la manière dont Yann en cause sur son carnet de notes. Ca se trouve ici.