Notre consoeur de la Lettrine avait enquêté sur cette agence et avait mis en lumière sur son blog ce fonctionnement biaisé, mettant les futurs auteurs en garde. Elle avait de plus révélé que la direction de cette société ne souhaitait pas communiquer les noms des éditeurs avec qui elle était en contact, ni les noms de leurs auteurs déjà publiés.
Elle avait été menacée par l'agence d'une « procédure pénale » et son blog avait été fermé. Une péripétie qui aura finalement servi à médiatiser un peu plus cette histoire. Notre consoeur a reçu de nombreux témoignages d'auteurs floués par cette agence. Ils lui ont tous raconté à peu près la même histoire. Et si l'Agence littéraire ne pouvait être poursuivie en justice, au moins a-t-elle fini par disparaître.