Bien que les éditeurs jeunesse aient été moins nombreux cette année pour la London Book Fair, cette dernière semble pourtant bien s'en sortir cette année, en tout cas bien mieux que Francfort ne le fera, comme le redoutent nombre d'exposants.
Bien sûr, la manifestation est de première importance pour les éditeurs anglais, puisqu'ils jouent à domicile, mais de ce fait, on a misé bien plus sur Londres qu'on ne partira outre-Manche en Allemagne.
Une idée que tous ne partagent pas : Francfort reste une priorité et comme chacun a fait des restrictions sur différents salons, on table sur les gros rendez-vous, et tout particulièrement celui-ci qui sera encore riche de révélations. D'ailleurs, les Australiens et Américains qui ont déserté en masse Londres pourraient eux-mêmes se retrouver plus facilement en Allemagne.
La présence européenne reste primordiale dans ces événements et plus que jamais, c'est la qualité de la présence qui compte plus que la quantité réellement avancée.