La responsable socialiste a tort d'adopter cette posture et va devoir en changer rapidement sous peine de fatiguer son public. Quant à Nicolas Sarkozy, laissons le s'user sans le mettre en valeur. Il suffit, comme le dit bien Roger-Gérard Schwartzenberg dans son dernier livre « l'Etat spectacle 2 », que le président français fixe l'agenda des journalistes et leur souffle les sujets des articles. Cette technique, explique l'ancien député radical de gauche, a été mise au point par Bill Clinton et Tony Blair. En politique cela porte un nom : faire la météo. Se déplacer, recevoir les familles des victimes, communiquer, rendre visite à l'UMP, occuper le terrain, se montrer à la télé…voilà le programme. Si, en plus, Ségolène Royal tombe dans le piège de cette provocation permanente, elle n'est pas sortie de l'auberge. Espagnole évidemment.
La responsable socialiste a tort d'adopter cette posture et va devoir en changer rapidement sous peine de fatiguer son public. Quant à Nicolas Sarkozy, laissons le s'user sans le mettre en valeur. Il suffit, comme le dit bien Roger-Gérard Schwartzenberg dans son dernier livre « l'Etat spectacle 2 », que le président français fixe l'agenda des journalistes et leur souffle les sujets des articles. Cette technique, explique l'ancien député radical de gauche, a été mise au point par Bill Clinton et Tony Blair. En politique cela porte un nom : faire la météo. Se déplacer, recevoir les familles des victimes, communiquer, rendre visite à l'UMP, occuper le terrain, se montrer à la télé…voilà le programme. Si, en plus, Ségolène Royal tombe dans le piège de cette provocation permanente, elle n'est pas sortie de l'auberge. Espagnole évidemment.