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Cette année, en l'honneur des femmes, le Comité Régie d'Entreprise a choisi de nous faire le cadeau d'un livre à choisir parmi une liste. Etaient proposés l'élégance du hérisson, de Muriel Barbery; les années, d'Annie Ernaux; Morne Câpresse de Gisèle Pineau; Mon petit mari de Pascal Bruckner; Le palais des illusions de Chitra Banerjee Divakaruni; Fugitives d'Alice Munro; Manta corridor de Dominique Sylvain (auteur dont Gilda m'a prêté "La nuit de Géronimo" récemment et dont je ne vois qu'aujourd'hui la coïncidence); Terremer d'Ursula Le Guin; Celle qui plante les arbres de Wangari Maathai; Aya de Yopougon de Marguerite Abouet et Clément Oubrerie; Ritournelle de la faim de JMG Le Clézio et enfin Le coeur cousu de Carole Martinez.
Il nous fallait, nous femmes agent, choisir un titre parmi ceux proposés. Le choix, comme vous pouvez le constater, est éclectique - du polar, de l'écologique, de la BD, du roman, du combat, des nouvelles, du rêve, de la magie, du triste, du drôle... Je ne savais pas où donner de la tête. Déjà, éliminer ceux que j'avais déjà lu (deux, ridicule). Il en restait encore beaucoup. J'ai donc fini par choisir le livre dont on n'a pas parlé tant que ça malgré son Prix et dont une critique à la radio m'avait donné envie de le lire ABSOLUMENT. Malheureusement, ce livre avait disparu des rayons des librairies que je fréquente et je me souviens encore de l'expression ahurie de la libraire de la rue de Bagnolet en réponse à ma demande. Ce livre ne lui disait rien... Librairie que j'ai rayé définitivement de ma liste ainsi que la libraire si je la revois ailleurs.
Ce cadeau du CRE nous donne l'occasion d'échanger nos livres (j'ai déjà alpagué une collègue) et au delà de lire, ce sera l'occasion d'un partage bienvenu dans une entreprise prompte à nous diviser.