C'est la crise, des entreprises ferment.
Notament une, à Bogota.
Les employés se retrouvent sans travail, mais aussi sans logement, car ils habitaient sur place.
Licenciés, jetés à la rue, sans indemnité, sans rien, dans une ville qui arrive juste après Paris en ce qui concerne le prix de l'immobilier.
Sans rien parce que, bien sûr, il n'y a pas de contrat de travail, pas de bail de location de la chambre.
A la fin de ce mois, ils sont dehors.
Vous l'avez compris, c'est là où travaille Gonzalo.